Délire Bernard/St. Just

"Oh juste une petite bière pour me remonter le moral. Tu vois ma femme est partie avec mon fils chez ce ....toutou de la reine , le Comte VIctor de machin truc bidule. Alors il me fallait bien un peit remontant, mais non je ne suis sâoul."

*Il s'essaya de se relever mais tribula et retomba ce qui contredisait ce qu'il venait de dire.*

*Saint-Just se précipita vers son cosuin et le soutint, puis le rassit un peu de force...
Il réalisait que Nanar était dans un triste état, et qu'il n'avait rien à lui envier...*

"Mon Dieu ! Mais... j'ignorais tout ça !
Rosalie t'a... quitté ? Définitivement ? Je ne peux pas le croire, vous sembliez si...! Si...?
Je ne sais pas comment dire, mais, moi,q uand je voulais citer un couple "modèle", c'était toujours : "Rosalie et Bernard".
Raconte-moi ! Comment est-ce arrivé, tout ça ?"

"Bah tu sais que j'étais parti voir mon frère et pendant ce temps MAdame Ch^telet s'est consolé dans les bras du premier venu c'est à dire le Petite comte de Girodelle. Enfin s'est consolée c'est vite dit elle devait être contente de voir enfin son "nanard" déguerpir rapidement. "

*Tout d'un coup il tomba dans les bras de Tony en larmes.*

"MAis elle semblait heureuse avec moi mais non je ne suis qu'un bon à rien , un crétin , un imbécile qui croyait sa tendre demie innocente. Bouh que je suis malheureux. Heureusement que tu es là car je pensait déjà à me noyer dans la Seine comme ça elle serait enfin débarrasser de moi définitivement. Elle pourrait aller conter fleurette sans danger avec son ...euh...son...misérabl petit mauviette de rien du tout."

*Tony referme ses bras sur les épaules de son cousin, consolateur... et il lui tape sur l'épaule.*

"Bernard, voyons ! Ressaisis-toi... Et arrête de dire des bêtises, et promets-moi de ne pas aller te jeter dans la Seine ! Rosalie ne mérite pas que tu sacrifies ainsi ta vie ! Aucune femme, d'ailleurs, ne mérite qu'on lui sacrifie sa vie !"

*Sauf peut-être mon "Ange"..., pense Tony.*

*Comme Bernard continue à pleurer contre lui, Tony continue...*

"Ce... Comte de Girodelle, tu m'as dit ? Attends... il me semble que j'ai déjà entendu ce nom là quelque p... (Il s'interrompt, puis reprend.) Mais oui ! Je vois qui c'est ! Mais seulement, je ne le connaissais que par son sobriquet !
Tu sais quel est son surnom, à Girodelle, je suppose, Nanar ?"

*Voilà !, pense Tony. Je vais le consoler en lui parlant du... Complétez vous-même : C----R !*

"Tu le connais ? Pourquoi tu ne m'as rien dit ?"

*S'arrachant des bras de Tony il hurlait.*

"JE VAIS ALLER L'ETRIPER CE PIQUEUR DE FEMMES. ET IL VA VOIR CE QU'EST UN VRAI HOMME ! DEMAIN ROSALIE VA LE VOIR BAIGNANT DANS SON SANG ET ELLE REGRETERA DE M'AVOIR QUITTER POUR CE FRELUQUET!"

*Bernard était tout rouge et commenca à partir de travers. Il ne tenait plus debout.*

HJ:je ne connais pas son surnom . c'est quoi alors ? que je rigole un peu

*Saint-Just s'affola un peu... pensez donc ! Jamais il n'avait vu Bernard en colère ! Même lorsque tous deux avaient dix ans, il restait toujours d'un calme olympien, alors que lui, Tony, se mettait facilement en colère...
Il fallait le calmer à tout prix ! Qu'il n'aille surtout pas se battre contre le Lieutenant de Girodelle qui était très doué en matière d'Escrime ! Surtout que Nanar, très alcoolisé, ne tenait presque plus debout ! Il allait se faire occire à coup sûr en cinq sec' !!!
Tony eut une idée : et tiens ! Si, pour calmer Nanar, il se moquait un peu de Girodelle ???*

**En plus, pensa Tony malicieusement, Nanar ^_^ ne connaît pas le surnom de Girodelle !
Ma parole, mon cousin ^_^ ! Je crois que tu es le seul, sur ce RPG et dans tous les fofos LO en général, à ne pas savoir que Girodelle a pour surnom ... **

"Le COCKER !
Pas ce "freluquet", mais le cocker ! Tout le monde, à Versailles et à Paris, n'appelle Girodelle que comme ça ! (Je crois même qu'il y a des gens qui ont fini par en oublier son véritable nom, !).
Tu sais pourquoi ? Parce que ce petit Lieutenant prend un soin extrême de ses cheveux, qu'il porte longs et... je crois qu'il met des bigoudis chaque soir pour être impeccable le lendenmain matin !
Tu veux savoir comment je le connais, Nanar ?"

Hj: vas-y annonce j'ai hâte de le savoir pour me moquer un peu de lui. je suis nouvelle sur ce forum et dans les autres où je suis il n'y a pas encore de girodelle.

*Bernard un peu calmé écouta tony dans un silence quasi religieux.*

*Saint-Just ménagea ses effets... fit une pause avant de parler, pour mettre son Nanar en appétit, puis... reprit son récit !
Un vieux truc qu'il avait appris, alors qu'il faisait ses études pour être avocat.*

"Eh bien ! Il se trouve que je connais le "Cocker", ou "MISTER Bigoudi", ou "Gigi" (Tu vois, il a plusieurs surnoms !) parce que, devine qui est son supérieur hiérarchique dans les Gardes Royales ? Je te le donne en mille !
Tadaaaaaaaam !
Mon "Ange blond", le Colonel Oscar de Jarjayes !
Tu comprends, Nanar... (Il rougit.) J'ai un peu honte de l'avouer, mais... j'aime Oscar (Ca, on commence à le savoir, Lol !)et j'ai voulu... euh, disons mener ma petite enquête pour savoir quel était son entourage, à Versailles. Et c'est ainsi que j'ai pu observer Girodelle !
Cet homme est le comble du ridicule !"

*Bernard se retenait de rire mais les larmes commeçaient à apparaître à ses yeux tellement qu'il ne pouvait plus se retenir. Soudain il lacha un énorme rire qui surprit Tony mais inperturbable il continua son récit sur le ridicule du Cocker.*

"Tu veux savoir la meilleure ?
Le cocker, est non seulement une vraie fifille ne s'occupant que de ses cheveux, mais en plus il est fier de raconter qu'il a été battu à plate couture par Oscar, lors d'un duel qui devait décider qui, de lui ou d'elle, prendrait le commandement des Gardes Royales !
En fait, il est mou et il serait totalement incapable de commander un régiment !
A vrai dire... après tout, autant tout t'avouer... je l'ai "espionné" de loin assez souvent, car il me semblait qu'il tournait autour d'Oscar ; mais... maintenant qu'il est avec Rosalie, je suis soulagé !"

*Tony, ou le comble de l'égoïsme au masculin !*

*Alors là ce fut la goutte qui a fait déborder le vase. Tony heureux du malheur des autres !! Bernard vut rouge et se pricipita sur son cousin qui ne dut son salut qu'à l'état d'ébriété énorme de Nanar. S'engagea alors une folle course-poursuite dans le salon qui pour un étranger à la scène aurait openser dévsater par un cyclone.*

"Alors comme ça tu es soulagé de le voir avec ma femme ?mais je vais te faire manger ton livre si ça continue."

HJ: KO le Tony

*Saint-Just, rapide comme un chat (de gouttière !), évitait les coups un peu maladroits su Cousin Nanar. Et essayait de sauver, non les meubles, parce qu'il ne possédait que 3 petites tables d'écriture (1) et 2 fauteuils minables, mais... ses manuscrits ! Et ses classiques favoris de la Littérature ^_^ !*

"Arrête, Nanar ! Aaaah, tu as fait tomber mon Virgile ! Assassin (2) !!!
Mais... comprends-moi un peu ! J'aime tellement mon Ange que... savoir un de mes "rivaux" casés me fait plaisir !
Noooooooon ! Pas ces feuilles !!! C'est un début de poème !"

Petites notes :
(1) Un de ces quatre, il faudra que je vous explique le "truc des 3 tables" : c'est intéressant et... délirant ! (+ Historiquement exact, ce qui ne gâche rien !!!)
(2) C'est celui qui le dit qui l'est ! Na, na, na, nanèèèèèère !

*la tentative rentra dans une oreille De Bernard et resortit de lm'autre. Bref il n'en tient pas compte et continua à détruire tout sur son passage.*

"Je sens que je vais te les manger tes précieux manuscrits. Plus précieux que le bonheur de ton cousin hein ?"

*Finalement Tony se retrouva le dos au mur et Nanar reussit enfin à mettre la main dessus. Il alla mettre sa menace à exécution car soudain la porte s'ouvrit brusquement et se tenait dans l'embrasure ....*

*Donc, le Nanar se reçut la porte d'entrée (très lourde !) de la maison en pleine poire !
Ce qui l'assomma et il se retrouva K.O. gisant sur le sol !
Le personne qui venait d'entrer ainis sans frapper, comme chez lui, n'était autre que Maximilien de Robespierre, dit "Maxou", ami commun de Tony et de Nanar.
Il comprit la scène en un seul coup d'oeil.*

"Tony ? Nanar ?!!
Mais pourquoi vous disputez-vous ainsi ?
Oh, désolé ! C'est moi en ouvrant la porte qui ai assomé Nanar ?"

"Oui, Maxou !
Et je te dois une fière chandelle, car autrement je crois qu'il m'aurait étranglé...
Je vais t'expliquer en quelques mots ! Tant qu'il fait un gros dodo, là, sur le carrelage !!! Voilà : Rosalie, son épouse, l'a quitté pour le cock... enfin, tu ne connais pas son surnom, pour le Comte de Girodelle. Et il s'est saoûlé pour noyer son chagrin ! En parlant de cela, lui et moi, j'ai eu une parole malheureuse... euh... à propos de Girodelle... j'ai dit que..."

*Tony bafouille, car il n'a pas l'intention de parler d'Oscar de Jarjayes à son ami Maxou.
Pourquoi ? Eh bien, parce que Robespierre ne s'intéresse qu'à la politique et qu'il n'approuverait pas que son disciple perde son temps en histoires d'amour, inutiles dans la vie d'un tribun selon lui !*

"Euh... j'ai dit que... Enfin , bref ! La conversation s'est envenimée et Nanar s'est jeté sur moi, furieux !
Il voulait même déchirer mes manuscrits, tu penses !"

*Tony, que la bagarre a un peu froissé, arrange le col et les manches de sa superbe chemise blanche à ruchers.*

**On va dire Rob' maintenant pour Robespierre, si vous me permettez ! Ce sera plus simple !
Rob' ! Le contraire de "pantalon" !**

"Hmm... Tony, au liue d'arranger tes froufrous... si tu te penchais plutôt sur Châtelet et si tu regardais s'il a besoin de soins... Il a peut-être reçu un plus mauvais coup qu'on pense. Et...
Et permets-moi de te dire que je trouve tes explications sur votre dispute on ne peut plus... vaseuses ! Tu es sûr que tu ne me caches rien, Tony ?"

*Saint-Just rougit (en pensant à "celle" qu'il cache à Maxou) et, pour cacher sa gêne et parler d'autre chose, il s'agenouille à côté de Bernard .*

"Oh, non ! Non, Maxou ! Que vas-tu imaginer ?
Oh, regarde ! Quand je te disais que c'était rien ! Il revient déjà à lui !
Il n'aura qu'une petite bosse... de cette aventure ! Et ça lui aura permis de désaoûler ! Bref... tu lui auras rendu service en l'assomant sans le faire exprès !!!
(Il se penche vers son cousin, lui soulève le visage et continue.) Bernard ? Bernard ? Tu vas bien ?
Tu nous as fait peur, tu sais, à Maxou et à moi."

"Ouhlala qu'est ce que j'ai mal à tête !!! Qu'est ce qu'il m'est arrivé ? Et toi rob' que fais-tu là ? Ouh je crois que j'ai loupé un épisode moi ! Il va falloir qu'on m'explique !"

*Ouf ! Mille fois "ouf" !, pense l'amoureux transi.
Pourvu que Bernard ait oublié la raison de notre dispute... et surtout mes confidences sur mon Ange blond !
Parce que je suis certain que le Maxou, avec son intransigeance à la k..., il ne va pas zapper les questions directes (et indiscrètes), là !*

**Et en effet...
(ça vous étonne ?!!)**

*Maxou prit la parole et repoussa un peu le frêle Tony, se pencahant à son tour sur Bernard.*

"Châtelet ! Mes excuses... pour être entré sans frapper et t'avoir assomé par mégarde !"

*Pour changer le cours de la conversation, Tony interrompit son aîné et mentor.*

"Par tes gardes ? (Il Xpldrr, mais d'un rire un peu factice.) Ah bon ! Parce que tu as des gardes, toi aussi, comme les rois, maintenant ? Je ne savais pas !"

"Par MEGARDE ! Sans le faire exprès !
Et non par mes gardes ! Sot !!!"

*Maxou se met en colère, car il est pointilleux sur le sujet délicat de... euh... sa mégalomanie.
C'est vrai qu'il se verrait bien chef de l'état à la place du chef de l'état actuel Loulou le Seizième, il en rêve même chaque nuit, mais il n'aime pas qu'on plaisante à ce sujet !*

"Bon ! Maintenant, ça suffit, vous deux !!!
Bernard ! Tu as repris complètement tes esprits ? Oui ! Bien... Alors tu vas m'expliquer IMMEDIATEMENT pourquoi vous vous battiez ainsi comme des chiffoniers, Tony et toi !
Et toi, Tony, pas un mot ! Je veux que seul Bernard m'explique ! Toi... je te connais, tu vas mentir !"

"On se battait mais pourquoi ?"

**malin le petit Nanar.**

*Il les regardait d'un air un peu égaré.*

"ah oui je me souviens. maintenant excuse moi Maxou mais j'ai un vieux compte à régler avec Tony. Est ce pas Tony ? Alors on en était où quand Rob' est arrivé ?"

*Nanar retroussa ses manches et s'approchait dangereusement de Tony qui reculait apeuré.*

**là cvoilà ma vengeance.**

**Oué ! Pas mal trouvé, comme vengeance ^_^, mon beau cousin !
Parce que là, moi, je n'ai le choix qu'entre deux maux :
1/ soit te laisser me donner une bonne pâtée, que j'ai, somme toute, méritée ;
2/ soit avouer à Maxou'... l'amour que je ressens pour Oscar, ce qui m'entraîneraît à subir de longs discours de ce Maxou' sur l'inutilité de l'amour dans une vie qui ne doit être consacrée qu'à la politique, et cela, chaque jour et un nombre considérable d'heures par jour (Rob' étant un orateur de génie, mais... interminable dans ses discours lorsqu'il se met en tête de convaincre quelqu'un !!!).
Donc... je choisis la première option : que tu me donnes vite la pâtée, Nanar, et qu'on passe ensuite à autre chose.**

"Très bien ! Vas-y, cogne ! Je suis prêt."

"Tu veux vraiement que je te cogne ? Non tout compte fait je te laisse comme ça sinon ton "Ange" blond ne te reconnaitra plus et tu seras malheureux. Tu sais très bien que je n'aima pas te voir triste, Tony !!"dit-il ironique avant de se retourner vers Rob'.


"Ca va comme tu veux maxou. Ah je vois tu ne connais pas l'Ange de Tony mais il se faire un plaisir de te parler d'elle. N'est-ce Pas Tony"

**elle est mieux non cpmme vengeance je trouve. Eh oui moi aussi je peux être un peu sadique sur les bords. mais je te promets que tu auras le droit de me cogner autant que tu veux pares avoir dit à maxou qui se cacha derrière le masque de l'Ange. **