Oscar à la rescousse (6)

*Oscar apres avoir refermé la porte elle se penche vers le Luciano endormir KO et lui donne quelque giffle pour le réveiller*

**Quelle plaie ce gars !!
**

*Sousb les gifles, très peu tendres, que lui assène Oscar, le petit requin se réveille et... c'était à prévoir... pousse des cris.*

"Aaaah ! Ca va pas, non, bella ? Vous êtes... folle, de me toujours me donner des coups comme ça !"

**Ils ne sont qu'à quelques mètres du dormeur... n'oublions pas ! Juste devant la porte de la chambre d'Oscar.**

**Moralité...**

*Encore des hurlements ?
Décidement, il n'y a pas moyen de dormir tranquille, dans cette maison !!!
Tiré, pour la seconde fois de la nuit, de son profond sommeil (artificiel), Papa Jarjayes se lève... regarde autour de lui, ne comprenant pas pendant quelques secondes pourquoi, et comment, il se trouve dans la chambre de sa fille... puis, la mémoire retrouvée, devient tout rouge de fureur (Oscar ne l'aurait-il pas endormi, exprès, avec son histoire... à dormir debout, justement ?!!)... et se dirige vers la porte...
et l'ouvre pour voir le spectacle, affligeant, de sa fille en train de gifler un "individu" étendu sur le sol, et pour entendre ce dit "individu" pousser des hurlements.*

*Papa Jarjayes va hurler lui aussi.
(On hurlerait à moins ! )*

"OSCAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAR !!!
QUI EST CE... CE... CE..."

*Il cherche ses mots.
Requin ? peut-être ?...*

"C'est ...*oscar cherche un peu ces mots et avec un petit sourire qui aurait pour but de calmer un peu le parternel Oscar dit doucement...presque avec timidité*...un blessé ! "

*Sur ces entrefaites, Rosalie que tout ce bruit a réveillé, arrive et constate avec surprise l'état dans lequel se trouve chacun des personnages. Désireuse de sauver Oscar de la colère paternelle, Rosalie s'exclame:*
"Valmonti ? Mais je pensais que... enfin... vous m'aviez dit que... vous ne buvriez plus et je vois que vous avez désobéi et que vous vous êtes encore perdu dans les couloirs. Venez, je vais vous reconduire à votre chambre."
*Elle se saisit de Valmonti et tenta de l'emmener de ses petits bras d'enfant.*

*Contre toute attente, Valmonti le Petit ^_^ (Val'2, ou Luciano pour les intimes) se laissa faire et amener par Rosalie jusqu'à sa chambre, toute proche...
...Du moins, pour l'instant !
(Il reviendra !) Le coup de poing d'Oscar l'avait un peu sonné, il faut dire, et il se trouvait bien dans les bras si maternels de la douce Rosalie...
Il maugréa quand même entre ses dents, en italien dans le texte (mais je le tape en français, ignorant cette langue musicale et aussi, pour que tout le monde comprenne...!):*

"A très, très bientôt... bella regazza !"

*Papa Jarjayes reste donc, (momentanément), seul avec Oscar dans le couloir, devant la chambre.
Et il lui sourit...
Oui ! Car il faut dire que, mal réveillé, encore, il a interprété à sa façon à lui, bien personnelle, les paroles de Rosalie sur Val'2 !*

"Ah ?!! Je comprends... je comprends !
S'il s'agit d'un problème avec l'alcool... je plains cette pauvre petite chose... enfin, ce pauvre jeune homme, je veux dire... ivre au point de se perdre dans nos couloirs... C'est désol..."

*Il s'interrompt. Car là, il y a quand même quelque chose qui mérite explication : Que faisait ce "pauvre jeune homme" au château Jarjayes, en pleine nuit ?
Le cerveau embrumé du Général ne lui livre qu'une seule explication : Rosalie !*

"Mais... Oscar ? Ce jeune homme un peu riquiqui est donc le petit ami de Rosalie ?
J'igborais qu'elle en avait un (Elle est gonflée, quand même, de l'inviter à venir passer des nuits sous MON toit, mais... si cet amour doit arrêter ce projet de mariage insensé que vous avez eu, elle et toi... alors là, je lui donne ma bénédiction !!!)
Oscar ? Vous me répondez ? Oui ?!!"

"Heu et bien ..oui je vous réponds ...non !"

"Quoi ? cet... individu... cet énergumène tout petit qui rôde nuitamment, dans les couloirs de ma demeure, n'est pas l'amant de Rosalie ?
Mais alors...
...Alors, comme il n'y a que deux femmes ici, Rosalie et...V... (Le mot a du mal à passer, lol !)... vous ! Je ne compte pas l'antique Grand'mère... Cet... avorton est donc...
(Papa Jarjar explose... complètement réveillé maintenant !) CET AVORTON EST DONC VENU POUR VOUS, OSCAR ! Il est...votre amant !"

"PERE !!!
Enfin vous l'avez bien regardé ce petit chose !! Et puis !! Et puis moi ?! Pere !!?? Avoir un ..am ....(la aussi le mot a du mal à sortir) un amant ?!!"

HJ : Je profite de ce topic. Alex, j'tai mis al suite du silence du lys

Rép. au HJ Rosalien /
Thank you, petite Rosalie ! Je vais lire... (Pliiizzz, je sais que je suis d'une exigence monstre mais je voudrais bien aussi "voir et écouter"... une certaine vidéo ! I wait for your Email !

*Papa Jarjayes obéit à Oscar et donc... la regarde. Elle, si grande, si fière, les yeux lançant des éclairs rien-qu'à-l'idée-qu'elle-pourrait^-être-avec-ce-minable-pourri-de-Val'2 ...
Il ne sait plus que penser et lançe un :*

"Hmm..."

*Dubitatif !*

*Sur ce, qui déboule dans le couloir (Je vous l'avais dit, qu'il reviendrait bientôt, celui-là !...), ayant échappé à la surveillance de petite Rosalie ?
Val'2 !!!
Furieux, il se plante de toute sa petite taille devant le (grand) Papa Jarjayes et lui lance...
...cet énorme mensonge !*

"Votre fille vous ment, Monsieur !!!
Je suis bien son amant ^_^, moi... Comte Luciano de Valmonti (de Venezia) !
Et... j'ai l'honneur de vous demander sa main ! (Je sais, à une heure et demie du mat' dans un couloir et pris en flagrant délit... d'aimer, ça passe mal et j'espère que vous allez être plein d'indulgence...)"

*Papa Jarjar reste un instant sans voix, et regarde tour à tour le petit "Comte italien" (d'un air dégoûté), puis Oscar (d'un air furieux. Dans quel m...dier a-t-elle encore été se fourrer ?!!)
Puis il la fixe droit dans les yeux et lui ordonne .*

"OSCAR ! Où est la vérité, dans tout ça ? Parlez !"

"Cet homme vous ment général !"

"Pere vous savez fort bien dans quel principe vous m'avez éduqué et vous savez l'engagement que j'ai pris il y a peu aupres de Madame de Polignac quant à l'avenir de Rosalie !
Il me semble que vous pouvez vous même emetre un jugement sur les dire de ce Monsieur et savoir qu'il me tiens à coeur de respecter ma rapole et de vivre celon les principes que vous m'avez enseigné !
Jamais je ne salierais le nom des Jarjayes ! de quelque sorte que ce soit !! Et surtout pas en reprenant la parole que j'ai donné."

**Arf ! Elle sait parler, ma fille !!!
...pense Papa Jarjayes, "l'authentique" (Je n'ai pas dit : l'antique !!!), qui commence à regretter qu' Oscar ^_^ ait fait trois années de Droit. Il n'y a pas à dire, elle a appris à parler là-bas !
Et à mentir aussi, peut-être ?...
Bref ! Papa Jarjayes veut la vérité.*

"Votre grand discours est bien beau, Oscar, mais il n'explique pas la présence de ce Comte italien... hmm... aux allures pas-trop-honnêtes dans les couloirs des chambres de ma maison !
Va-t-il falloir que je l'interroge seul à seul, dans mon bureau, pour avoir la vérité ?
Car qui me dit que c'est lui qui me ment ?!!"

"Je suis fortement decu qui vous puissiez avoir une telle opinion de moi pere !
Cet homme est le jeune frere de l'homme qui est venu il y a quelque jours pour voir Madame de Polignac, ayant ..hum...en allant chercher Rosalie que je pensais en danger dans son auberge cet homme a été blessé par une de mes balles suite à une altercation entre son ainé et moi meme !
Il est de coutume pour eux que la personne qui a causé une blessure soigne l'individu blessé voila pourquoi cet homme se trouve ici !
Apres..Le fait qu'il se soit amouraché de moi ! et qu'il raconte des aneries plus grosses que lui en italien ..je n'y suis pour rien !!"

*Entre ses dents, le requin proteste un peu.*

"Amouraché, amouraché ^_^ ! Qu'est-ce-que ce vilain mot ? Pas amouraché ^_^, non ! J'aime la regazza d'un amour sincère...
Et qu'est-ce-qu'il a, mon italien ?"

*Papa Jarjayes, qui commence à capter ... la vraie situation, regarde un peu plus tendrement que de coutume Oscar (car elle commence à remonter dans son estime !). Comprenant dans quelle délicate position elle peut se trouver.*

"Oh, vous, le Comte à la noix de Coco, taisez-vous !
Oscar... je vous crois car je connais les coutumes de la... hmm... mafia ^_^ italienne. Vous étiez en effet obligée de prendre "votre blessé" chez vous.
Mais... pourquoi l'avoir fait en secret, Rosalie et vous ? Pourquoi ne pas m'en avoir parlé ouvertement ?
Vous n'êtes pas sans ignorer, que j'ai horreur du mensonge et de la dissimulation !!!
Ets-ce parce que c'est, en somme, la mère de Rosalie, la P..., Madame de Polignac, qui est la fautive de tout cela ?"

"Monsieur de Jarjaye, tout est de ma faute !"

"Comment ça, tout de votre faute ? A vous, Rosalie ?!!
Rosalie ! Réfléchissez... ce n'est pas vous qui avez le vice du jeu dans la peau... c'est votre mère ! Ce n'est pas vous qui avez emprunté de l'argent... pour le jouer et le perdre, aux Valmnti... c'est votre mère ! Ce n'est pas après vous que le frère de ce... de ce... de cette petite chose, en a pour se venger... c'est de la faute de votre mère, ça aussi !"

" (vexé, murmure en aparté ...)
Petite chose ? petite chose ? et puis quoi encore ?!!
Soyez poli, au moins !"

"Si je m'étais laissé faire, si je ne m'étais pas opposée à son frère, si je lui avais obéi, rien de tout cela ne serait arrivé."

"Vous plaisantez, Rosalie ?
Car si j'ai bien compris... le frère de ce minus vous veut pour lui ?
Oscar ?!! Vous laissez Rosalie dire des choses pareilles sans réagir ?"