Oscar à la rescousse (6)

" (toujours râlant dans son coin, mais se tenant à carrauex... -Carreaux - line !- par peur d'un oppercut de plus de la part du père ou de la fille) Minus, maintenant ! Eh bien... j'aurai tout entendu !"

"Pere tentez vous de lui faire entendre raison ...sans la faire pleurer ! Et vous verrez que ce n'est pas chose facile !
Rosalie sait parfaitement que je pense moi aussi que rien n'est de sa faute."

**J'ai rien dissimulé ...le Papa n'étais pas la quand on est rentré ..j'y suis pour rien moi!**

*Rosalie baissa les yeux.*
"Monsieur, Oscar n'a rien fait de plus que de me protéger. Croyez-la, ce... cet homme ne cesse de la harceler. Je... vais aller me coucher. Bonne nuit, Oscar, bonne nuit Général."

"Voyez Pere !! Qu'est ce que je vous disais elle a deja les larmes aux yeux !"

*Oscar attrapa Rosalie (doucement) par le bras*

"Rosalie ?"

*Rosalie releva les yeux et croisa le regard d'Oscar.*
"Je..."

*Désolé, penaud même , Papa Jarjayes restait le dos au couloir...
Il aimait bien la petite Rosalie et était toujours triste de la voir pleurer.
Il s'excusa donc.*

"Rosalie...
Veuillez me pardonner... je ne voulais pas vous faire pleurer en vous parlant de l'attitude de Madame de Polignac."

3 (toujours à part, tirant un mouchoir de sa poche et pleurant sans aucune honte) Et moi aussi, il me fait pleurer cet homme-là, avec toutes ces insultes et ces mots... et personne ne me plaint et me console, moâ !"

" .....*Oscar montre Luciano du doigt* Père...vous avez vraiment pensez que je pouvez ...( j'ose meme pas le dire) cet homme ?!"

*Et encore "homme" la c'est gentil !**

*Papa Jarjayes jeta un regard dégoûté sur le petit requin... *

"Non ! Plus maintenant que je vois son comportement...
Il tremble de peur, heureusement qu'il y a le mur du couloir pour le soutenir, sinon, je crois qu'il tomberait !"

**Au moins, il ne tomberait pas de haut ! **

"Oscar, allez avec Rosalie, je crois qu'elle a besoin de votre aide... et encore une fois, pardonnez-moi, Rosalie !
moi, je vais m'expliquer d'homme à homme... enfin, façon de parler parce que c'est une omelette... avec ce Monsieur !"

*Rosalie s'approcha de Luciano.*
"Monsieur, vous ne devriez pas pleurer. Vous devriez vous recoucher, car vous êtes blessé. Et oublier Oscar qui est une femme soldat, et qu'on en peut aimer comme ça. Oscar n'est aps une femme pour vous. En fait, jene crois aps qu'un seul homme puisse réellement lui convenir. Oscar est une femme qu'on aime... à sens unique."
*Elle posa une main sur son épaule.*
"Allons, venez vous reposer."

*Emu par la gentillesse de Rosalie, à qui pourtant son frère avait fait du mal, en la harcelant, le petit requin fondit en larmes et pleura, sans honte, comme la pauvre chose - omelette - qu'il était, sur son épaule.*

"Bou-ouh-ouh-ouh !"

" (dégoûté encore plus qu'avant) C'est nul, un homme qui pleure !
Oscar ! Vous laissez Rosalie consoler cet... individu des bas-étages ? Vous n'avez pas peur qu'il lui fasse du mal ? C'est un mafioso, quand même !
Un de ces dangereux Valmonti !"

"Il.. n'a pas l'air bien méchant."

"C'est vrai qu'il n'est pas bien méchant ! Regardez le !! A pleurer dans les bras de Rosalie !! Je dirais meme qu'il irait bien ensemble c'est deux la ! On pourrait croire qu'il est son frere :"

*Rosalie rougit et ne se retourna pas pour ne pas qu'on le voit.*

*Toujours blotti dans les bras maternels de Rosalie, (qui a le courage, rappelons-le, d'oublier sa propre peine pour consoler quelqu'un), le Luciano entonne la complainte de Calimero ^_^.*

"C'est pas juste ! C'est trop injuste !
Bouh -ouh -ouh -ouh !
Vous êtes tous cruels avec moi... (Il se tourne vers Oscar et Papa Jarjayes.) ...Je parle pour vous deux ! (A Rosalie.) Pas pour vous, bien sûr !
Bouh -ouh -ouh !!!"

**Bouh, Sniff, Sob, "nan", Catagnettes et Tango !
"Comment réussir dans la mafia, quand on est (aussi) k..et aussi pleurnicahrd ?" **

**Oué je suis cruelle !!! **

*Oscar regarda son pere ... *
**c'est vrai que lui il est encore plus cruel que moi ! Il m'a tout appris !! **

*Là, Papa Jarjayes EXPLOSE (ou implose, ou pète les plombs avant l'invention du courant, ou je ne sais comment dire mais bref : regardez son image à gauche, du portail d'entrée de ce site, là où il hurle NO, NO, NO et vous aurez une bonne idée de la ^tête qu'il fait !)
Et il prend le mini-mafioso au colback, bien que celui-ci soit encore dans les bras de Rosalie, et lui CRIE dessus.*

"Oui ! Je suis CRUEL ! Parfaitement ! Et même, je ne m'en cache pas !!!
Et je veux retourner DORMIR tranquille, DORMIR, vous entendez !
Alors, je vais vous jeter dehors (car je vois bien que vous n'êtes pas gravement blessé, et qu'Oscar vous a juste égratigné)... Vous n'en mourrez pas !
Et ne revenez plus JAMAIS nous importuner, ici, ni vous, ni votre frère !
(à Rosalie) Lâchez-le, ROSALIE !!! Que je le jette hors de ma demeure, comme il le mérite !"

**Oué, mille fois plus "cruel" que sa fille, Papa Jarjar !
(comme Oscar le pense !)**

*Rosalie recula, intimidée et quelque peu effrayé par le père Jarjaye.*

*Maitanant, le Général... hmm... cruel ^_^ (Merci, Oscar ^_^ !) tirait de toutes ses forces sur le bras du petit requin, toujours blotti contre Rosalie.*

"Allez ! Ouste ! Dehors !"

"Kay-kay-kay-kay-kay-kay-kay !!!"

*Il s'agit évidemment... du bras auquel le petit requin a été blessé (légèrement, certes !) par Oscar, et "kay-kay !" ça fait mal ! Et ça re-saigne, même !
Le Luciano grimace de douleur, s'écarte de Papa Jarjayes et de Rosalie et se tient le bras.*

"Monstres ! Vous êtes deux monstres...
Regardez ! (Il soulève sa manche et montre sa blessure... réouverte, donc pour une fois nous allons être compréhensifs et l'exuser de faire "kay-kay" !)
Rosaliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie !"

*Valmonti se rejette en tremblant dans les bras de la seule amie qu'il a dans cette demeure de... oufs, selon lui ! *

"Général !"
*Rosalie regarda le général avec désapprobation.*
"Vous avez rouvert sa blessure !"
*Elle se tourna vers Valmonti.*
"Allons ne vous en faites pas, venez dans ma chambre, je vais vous soigner."

HJ : Alex, ya la suite hihi.

*HJ / J'ai vu, j'ai lu, ça m'a plu ! à Jules ! (César, of course !)**

*Papa Jarjayes regarda d'un air (très) désapprobateur Rosalie amener le petit requin, qui, sûrement, n'avait pas si mal que ça, et confia à Oscar.*

"Vous voulez que je vous dise, Oscar, mon enfant ?
Rosalie... elle est parfaite, comme femme, mais elle a une qualité qui, chez elle, tourne au défaut : c'est qu'elle est trop ^_^ gentille !
Oui... regardez-là avec ce pingouin qui nous joue la comédie, j'en suis sûr, avec ses grands "kay-kays" ! Je l'ai à peine effleuré... Vous l'avez bien vu, non ? Il n'y a pas de quoi crier comme un putois pris au piège !"

Je suis en total accord avec vous pere ! **mais les pinguouins ..les pauvres..les traites de Luciano Valmonti !! c'est pas gentil pour mon armée ca !!**
Je vais la suivre ! Je ne voudrais pas que ceux .... cet....cette femellette face du mal à Rosalie.
Peut etre devriez vous aller vous recoucher."

*Papa Jarjar baîlle à se décrocher la machoire.*

"Vous avez raison, Oscar, j'y vais... Waaah !"

*...et il quitte le couloir, regagnant sa chambre et s'y enfermant.*