Oscar à la rescousse (4)

"Vous avez vous aussi oublié un détail !!"

*Oscar son son arme, et prends le jeune Val2 en otage pistolet sur la tempe*
"Je suis soldat, je sort toujours armée !
Alors le frere ou le Colonel et les quelque doublezons ?"

*Val'2 n'est, certes, pas courageux...
mais là, il se trouve dans les bras d'Oscar qui le tient comme un bouclier, plaqué devant elle... il peut respirer son délicat parfum... de femme (Car Val'2 est toujours CERTAIN qu'Oscar est une femme !) et... il ressent un drôle de sentiment, une excitation entre la peur de prendre, quand même, un pruneau (Si elle a la détente aussi rapide que le coup de poing, je suis cuit, pense-t-il...) et le plaisir d'être dans les bras de la bella regazza.*

"Par vous, je mourrai volontiers, bella...", murumure-t-il à Oscar.

"Jarjayes ! Lâchez mon frère immédiatement !
Et vous, les pieuvres... Ne bougez pas ! Ne faîtes plus aucun geste !
Le vie de Luciano en dépend..."

"Vous n'êtes pas tres régulier dans les affaires mon cher !! Je dirais même que...**j'aurais préferé parler a Rosalie de sa subite envie de .."bisous"...vous êtes fort malhonnête, ca ne m'etonne pas de votre part"

*Oscar reculait doucement vers la sorti tenant toujours le petit requin en bouclier*

"Vous comprendrez que vu les circonstances ..il faudra remettre à plus tard notre échange de signature pour le reglement de la dette de Madame de Polignac, réglement qui ne l'oubliez pas ne doit être décidé que part moi, tel est notre accord"

*Le "petit requin" (Pourquoi petit ^_^, au fait, Oscar ?!!) reculait , toujours tenu fermement par Oscar contre elle...
Mais... il faut croire qu'il était venu en France accompagné de tout un essaim d'abeilles, car, le désir de bizous ^_^ (Eh oui ! Lui aussi, Oscar !!!) l'emportant sur la trouille, il fit un geste malheureux et se retourna rapidement vers la "bella regazza" qui le tenait en otage, dans le but de lui voler un bizou.
Et... le coup de pistolet partit tout seul.*

PAN !

**Oui, disons que... dans sa hâte et sa maladresse, c'est Val' 2, qui a appuyé sur la gâchette ultra-sensible... sans le faire exprès, bien sûr ! (Pensez que, vu le genre de Val'2, il n'a jamais tenu un pistolet dans ses mains de toute sa vie...!).
Donc : PAN !**

**Donc PAN !! A ben merci du cadeau !! QU'est ce que je fait moi ?! Hein ...vais encore devoir réflechir ...heureusement j'ai un cerveau ..et oui !! Ca aide un cerveau !!**

*Oscar surprise autant par le coup de feu, que par l'audace du jeune requin ne pu que le retenir dans sa chute, a croire que ce requin a beaucoup beaucoup de chance..il a malencontreusement appuyé sur la détente mais Oscar a eu la bonne idée de relever son arme et ainsi la balle s'est simplement logé dans la nageoir, oups pardon ...l'aileron..non c'est pas ca non plus..l'épaule du jeune Valmonti.
Elle regarda Val1 et lui dit*

"Votre frère n'est vraiment pas doué !! Heureusement que j'ai pu dévier le coup!! En plus il a des moeurs special et ..il ne sait pas qu'une arme a feu peut etre dangereuse ..."

**A ce demander ce que le Parrain lui a appris la bas en Italie
Peut etre qu'il faudrait que je lui parle facon parrain pour qu'il me comprenne ...Ecouteuh ptit VALmonTIiii...pouisqué yé té dit qué la personne qué tou as en face cé n'est pas oune femme ....tou va vraiment mourrir si tou continu à l'appelé bella ragazza !! **

*Valmonti, qui a l'habitude des bagarres et des armes à feu, a très bien capté que Oscar a en fait sauvé la vie de son jeune frère, en faisant dévier le champ de tir. Admiratif, il pense même que le Colonel a de sacrés réflexes (et qu'il serait bien mieux à sa place, à son avis, à lui, Valmonti, dans la mafia que dans l'Armée, mais bon...!).
Mais le requin ^_^ est un homme de mauvaise foi et, au lieu de remercier Oscar, il l'accuse et crie comme un putois...*

"Brute ! Vous avez blessé mon frère ! Jarjayes... vous allez me payer ça !"

*Les deux pieuvres bessonnes ^_^ (Vous voyez comment elles sont, hein ?!!), hommes de main et des basses besognes de Valmonti, s'approchent et se postent derrière leur "patron", prêtes au combat.*

Pieuvre n°1 :
"Un seul mot de vous, on bondit sur lui et on l'achève, Patron !"

Pieuvre n°2 :
"Oui ! Je dirais même plus : on a rudement bien fait de se faire faire nos tresses afro hier, parce qu'on pourra bien mieux voir où est l'ennemi sans les cheveux dans les yeux ! On va le tuer..."

*Valmonti dit tout bas à ses pieuvres...*

"Le tuer ? Plus tard... sûrement ! Mais pas encore ! Pas tant qu'il ne m'a pas réglé la dette de la Polignac.
Restez quand même derrière moi ! Vous me servirez de gorilles... ou plutôt, de chimpanzés, vu votre taille... au cas z'où le Colonel ait à nouveau l'humeur belliqueuse ! Mais, s'il ne (me !) tape pas... vous ne tapez surtout pas en premier ! Kapeech ?"

*Et Val'2, dans tout ça ?
Eh bien, le gentil requin ^_^ blessé à la nageoire et... un peu douillet (Oh, la chochôôtte ! Elle est t'amoureuhseuh !) s'est jeté à genoux sur le sol, et il tient son épaule en grimaçant de douleur.*

"Kay, kay, kay !
Personne ne pense à me soigner, moi ? Je saigne et...
(Il marque une pause, et reprend en lançant un regard furieux vers Oscar.) Et je ne comprends rien à ce que vous m'avez dit, vous, bellA ! Vous mentez pour une raison que j'ignore, mais vous ne m'enlèverez pas de la tête que j'ai raison... à votre sujet.
Vous m'avez blessé... brute ! A vous de me soigner, maintenant !
C'est la loi du milieu. Notre code de l'honneur, à nous les familia de mafiosi ! (Oui, si tu tues quelque ennemi, vaï ! Tu ne lui dois rien. Mais si par mégarde tu ne fais que le blesser... alors c'est à toi-même de le soigner ! )"

"Luciano a raison, Colonel !
Posez ce pistolet à côté de vous (comme ça vous l'aurez sous la main au cas z'où...!) et soignez la blessure de mon frère ! Et plus vite que ça !
Piovra n°1, fais-lui passer la boîte à pharmacie !"

*Une des deux pieuvres va dans la cuisine et en revient aussitôt avec une boîte en fer-blanc.
Sans manières, la "piovra" jette la boîte aux pieds d'Oscar.*

"Eh bien, Jarjayes ! Allez-y ! Qu'est-ce-que vous attendez ? Vous voyez bien que mon pauvre Luciano se tord de douleur !"

*C'est le moins qu'on puisse dire ! Le petit ^_^ requin est toujours à genoux, sur le sol, et fait "kay-kay" en cadences !*

**Oscar, infirmière ! ça promet d'être... drôle !
Surtout avec un requin douillet !**

*Oscar garde son arme à la main ..pas folle veut pas me faire tuer !! et juge le petit requin N°2 du regard*

"Hum ! Je ne voudrais pas lui faire mal ou aggraver sa blessure ! Vous seriez capable de dire que je l'ai fait volontairement !!"

*Le petit requin ^_^ jette un regard de cocker vers Oscar.*

**Remarquez que, avec Girodelle comme Lieutenant, elle est rodée...
...côté regards de cockers !**

"KAY KAY KAY ! pitié ! soignez-moi ! Kay, kay ! Je me vide de mon sang..."

*Le requinou n'a en fait qu'une égratignure, qui saigne normalement, un peu, quoi, mais rien de bien méchant. Mais il est tellement impressionné... plus par OscarA que par sa blessure, d'ailleurs, qu'il est blanc comme un linge... et qu'il en rajoute un peu côté plaintes !*

"Gardez votre arme à portée de main, Colonel... puisque c'est cela qui semble vous chiffoner dans cette histoire !
Mais soignez mon frère IMMEDIATEMENT ! Je vous jure, sur le code de l'honneur de la mafia, que pendant que vous le ferez, nous ne tenterons rien contre vous !"

*Après, je ne dis pas !
Mais "pendant"... non !*

"J'ai bien mieux !!"

*Oscar se pencha vers le requincocker et le releve*

"Je vais le soigner chez moi ainsi vous serrez sur de la bonne qualité des soins et je ne dérogerais pas à votre code"

*Ravi, le requin-cocker amoureux en oublia de faire ses kay-kays cadencés et se montra enthousiaste.*

"Je suis d'accord à 100 %!"

*Hmm..., pensait-il. Je serai à côté d'"elle", chez "elle"... je pourrai donc voir si "il" est "elle", parce que je suis sûr que c'est "elle"... super !*

*Encore plus ravi, le méchant requin fit un grand sourire à Oscar et se montra... deux fois plus enthousiaste, encore, que son frère .*

"Je suis d'accord à 200 % , Colonel ! Emmenez donc mon frère chez vous... je vous fais confiance, et je suis sûr qu'il reçevra les meilleurs soins."

**Hmm..., pensait-il. Avec cet imbécile de Luciano dans la place, j'aurai le prétexte tout trouvé d'aller souvent chez Jarjayes et de pouvoir repérer les lieux... pour le jour où j'enverrai mes pieuvres y faire une descente punitive !**

"Vous comptez y aller comment, chez vous ? A pied ? Vous n'avez plus votre carrosse..."

"Pas à pieds vu l'etat ... d'agonie de votre frere ...nous sommes en plein Paris, je trouverais bien un carosse."

*Sur ces mots Oscar regarde Luciano *

"Et bien alors ? Vous venez ? Je ne vais tout de même pas vous porter !! Heureux deja que je vous emene chez moi !! Ce n'est pas de gaité de coeur !!"

*Au moins j'aurais le temps de faire venir Girodelle, plus André, mon père et si il le faut je fais intervenir la compagnie !! Si il pense s'en tiré à si bon compte !!*

*Val'2 suit Oscar vers la sortie de l'Auberge, en grimaçant un peu de douleur et en se tenant son épaule blessée de l'autre main.
Qu'il est douillet, décidement ! Ce n'est pas un homme, ce Val'2, c'est une omelette ! *

"Oui...Je viens...
Je peux marcher jusqu'au tax... euh, carrosse ! (Excusez-moi, en Italien on dit "taxi" pour "carrosse"...)."

*Toujours arrogant, le méchant requin croit bon de devoir en rajouter...*

"Merci, Colonel... et au revoir, Luciano ! Laisse-toi bien soigner et ne dis pas trop de... couyonnades !
Colonel ! Un instant ! Avant de partir, dîtes-moi quand je pourrai venir rendre une petite visite à mon frère chez vous !"

"Ma maison n'est pas un asi....(pardon..pour les fous on dit asile en Integrien ....)hum..un hopital ! Il n'y aura pas d'heure de visite et vu la blessure qui n'est pas grave votre frere pourra rejoindre l'auberge familiale dès demain !"

"Très bien !
Je vous attends donc, vous et lui, ici demain.
Au revoir, Colonel ! Au revoir, Luciano !"