Le Harcèlement du Popo

*Le Popo, énervé par l'épisode de la moumoutte et las aussi d'attendre, (car il avait les z'abeilles), empoigna Rosalie par le bras, un peu violemment, et la jeta sur le lit...*

**Et qui voilà à la rescousse ? Mais non pas le chevalier Noir ! Quoi Nanar ce serait mieux ? Quoi je ne suis pas crédible ? Bon si c'est comme ça je m'en vais et tant pis pour la jolie peteite innocente Rosalie. Mais non... je suis pas assez méchant pour la laisser se faire violer par un abruti de première classe. Bon donc j'en étais où ? Ah oui, c'est moi, j'arrive et je vais sauver la belle en détresse !**
**Le comte de Girodelle entra dans la Maison. Entendant des pleurs étouffés à l'étage, il monta et surprit la juene fille des Polignac, nue sous son.... beau-père !!!! Il se saisit du beau-père et le projetaviolemment sur le sol, puis se mit entre lui et Rosalie.**

*En une seule fraction de seconde, le Popo atterrit sur le sol dur du carrelage de la chambre, ce qui lui arracha un ...*

"Aïe !"

*... de douleur, puis il reconnut le Comte de Girodelle, des Gardes Royales et alors là... ce fut panique à la Cour !
Tout le monde allait savoir... quel être répugnant il était ! (Oui, car il est un peu bênet mais quand même conscient d'être un être répuganant, le Popo !!!)
En cinq sec', il se jeta sur son caleçon long ... l'enfila, puis sur son sous-vêt' en flanelle... et trouva alors la force de répliquer...*

"Ce n'est pas ce que vous croyez... Lieutenant !"

"Ah non ! Alors qu'est-ce que je crois ? Et qu'est-ce que je... dois croire ?"

*Comme une couleuvre, avec laquelle il a d'ailleurs quelques points de ressemblances (surtout sur sa capacité de travail, ou plutôt son INcapacité de travail, au Ministère...), le Polignac se glisse dans sa chemise blanche et dans son pantalon...
Au fur et à mesure qu'il retrouve ses fringues sur lui, son aplomb grandit et il ose soutenir le regard sévère de Girodelle...*

"Oh, mais ce n'est pas du tout ce que vous croyez, justement, Lieutenant !
Ma belle-fille et moi-même nous... discutions ! C'est tout !"

*Là c'en est trop pour Gigi qui empoigne le Popo.*
" VOUS DISCUTIEZ ? COMPLETEMENT NU A CHEVAL SUR ELLE ? EN CE CAS POURQUOI EST-ELLE COMPLETEMENT PARALYSEE PAR LA PEUR ? SORTEZ MONSIEUR, PARTEZ AVANT QUE JE NE PERDE TOUS MES MOYENS !"

*Le Lieutenant des Gardes Royales est grand ...
Le Ministre est petit ^_^ ... (J'insiste peut-être un peu trop sur ce point, mais vous allez voir que ça a son importance !)
Aussi est-il comique de voir Girodelle soutenir le Polignac, trente bons centimètres au-dessus du sol, et les petites pattes du Popo s'agiter frénétiquement dans le vide.*

"Lâchez-moi ! Vous me faîtes mal ! Je me plaindrai à la Reine !"

*Il le jeta au sol.*
"Je suis ici sur odre de la reine pour ramener mademoiselle de Polignac à Versailles. Je vous conseillerai de partir si vous ne voulez pas vous retrouver avec une tête en moins."

*En effet ce serait fâcheux... une tête en moins !
*

"Oui ! Je pars...
La Reine ? Encore une manigance de ma femme, j'imagine ! Elle a dû raconter des choses fausses à la Reine et..."

*Il s'interrompt, une lueur mauvaise dans les yeux.*

"Vous allez voir la Reine, tous les deux ?
Fort bien ! Eh bien moi, je vais aller voir le Roi... et lui faire quelques révélations... sur un certain Colonel cher à votre coeur, Mademoiselle !
Et nous verrons, au final... QUI aura le dernier mot !"

"Un colonel ? Cher au coeur de R... Oscar ! Monsieur, qu'avez-vous l'intention de faire à Oscar de Jarjaye ?"

*Le Polignac, en lançant cette menace contre Oscar, bluffait carrément, comme un joueur de Poker.
Il n'avait dit ça que pour que Rosalie n'aille pas raconter à la Reine que lui, Ministre des Postes, harcelait sa jeune belle-fille ! (Le Popo tenait à son poste, d'autant plus qu'il ne se fatiguait pas à la tâche !)
Aussi fut-il gêné de l'intervention de Girodelle... et fit marche arrière.*

"De quoi vous vous mêlez, vous ?
Et d'abord... qui vous dit que c'est d'Oscar de Jarjayes, dont je parlais ?"

"Je connais suffisament Rosalie pour savoir que celui qui se comporte comme un frère avec elle est le colonel de Jarjaye. et je vous défends bien de lui nuire,; monsieur, ou vous aurez à en répondre !"

"Mais... mais je ne cherche à nuire à personne, moi, Lieutenant !"

*Mauvais joueur, (et cette partie-là, on peut dire qu'il l'a perdue dans les grandes largeurs !), le Popo se dirige lâchement vers la porte de sortie de la chambre...*

"Et je ne tiens pas à me battre, je suis "contre" les duels, moâ !"

"Partez ! Vous me dégoûtez ! Partez !"

**Moi aussi, il commence à me dégoûter, ce sal personnage qui semble avoir tous les défauts !
**

*Le Popo ne se le fit pas dire deux fois (Gigi en colère était impressionnant...) et il partit en claquant la porte.
Il alla bouder au fond de son appartement... bien sûr, il n'alla pas chez le Roi, ce n'était qu'une menace en l'air pour intimider Rosalie.*

*Girodelle se retourna vers le lit ou gisait la pauvre Rosalie comme une âme perdue au milieu de nulle part. -Z'avez vu, je fais dla belle poésie, môaaaa- En un instant, il sut que s'il n'avait pas été l'homme d'honneur qu'il était, mais le pourri qu'était le Popo, il n'aurait pas hésité à se jeter sur elle tant elle était belle. Mais ses grands yeux effrayés poussaient à la prendre dans ses bras pour la rassurer. Il se contenta de soulever le drap, de l'y glisser et de l'en recouvrir. Puis il s'assit près d'elle et lui prit la main.*
"C'est fini Rosalie, tout est fini. Il ne vous fera plus de mal."

*Rosalie resta immobile quelques minutes, assimilant ce que disait Girodelle. puis elle comprit qu'il venait de sauver son innocence sans conditions et qu'enfin elle allait pouvoir oublier ce qu'il s'était passé. Dans un réflexe, elle se jeta au cou de Girodelle et se serra contre lui sans un mot.*

*Girodelle était surprirs, mais il referma doucement ses bras autour d'elle.**Murmure.*
"La reine veut vous voir. Et puis, si on reste comme ça..."
*Il lui leva le menton.*
"C'est moi qui vais devenir goujat, Rosalie. Je vais sortir et vous allez vous habiller d'accord ?"

*Alors qu'il se levait pour partir, elle le retint par le bras. Elle el regarda avec son regard d'enfant perdue. elle ne savait plsu où elle en était.*

"Je resterait devant la porte. il ne viendra pas vous chercher."
*Il caressa sa joue.*
"Ne craignez rien, je ne suis pas loin."

*Rosalie acquiesça et une fois Girodelle sortie, s'habilla. Puis elle el rejoignit."

"Allons-y, Rosalie."
=> Harcèlement de la Polignac (2)