Le Harcèlement du Popo

**Après le succès du harcèlement de la Popo, voici la version dans l'autre sens.**
*Rosalie était assise au piano et jouait en l'absence de sa mère.*

**Alors, tout d'abord une toute petite explication sur le plan du rez-de-chaussée de la demeure des Polignac !
Il y a le grand couloir menant à l'escalier (comme chez les Jarjayes), puis, à gauche, la salle à manger et le salon de réception, et à droite le petit salon et, plus loin, les cuisines et buanderies.
Je précise que dans le petit salon, se trouve et :
*le piano, car cette^pièce serta aussi de salon de musique ;
*et le bar.
Précision importante pour la suite des évènements !

Car le ministre des Postes, le Duc de Polignac, -le Popo, koi !-, revenu de son ministère où... hmm, il n'a pas fait grand'chose de la journée, il faut bien le dire..., a la petite habitude d'aller dans le petit salon se servir un ou deux verres de Brandy.
Il entre donc...
et voit la fille de sa femme, jouer du piano.
(Vous n'avez pas oublié que Rosalie est la fille illégitime de Julie de Polignac, et que donc elle n'a aucun lien de parenté avec M. de Poliganc ???!)
Il reste muet d'admiration . Rosalie offre au regard un tableau charmant : dans sa robe rose, elle est ravissante.*

"Oh, Bon... bonjour, Rosalie !"

"Bonjour, monsieur, comment allez-vous ?"

"Exténué ! Je suis... exténué !
Vous ne pouvez pas imaginer combien mes journées de travail sont chargées et pénibles, petite fille !
Hmm... Aussi ai-je grand besoin d'un petit remontant... un verre de Brandy !
En voulez-vous un, vous aussi ?"

"Non merci, je ne bois pas d'alcool."

"Alors...
Continuez à jouer du piano, comme avant mon arrivée !
J'aime beaucoup... quand vous jouez !"

**Rosalie obtempéra et joua un air doux et tranquille.**
"Cela vous plaît-il ?"

"Oui, c'est très beau... apaisant, on dirait que de l'eau coule entre vos doigts, Rosalie.
Vous êtes douée... C'est quoi, cette pièce de musique ?"

"Oh heu c'est du... Mozart."

*Le Popo, pour mieux apprécier l'audio... et la vidéo, s'est accoudé sans façons sur le dessus du piano, et regarde Rosalie jouer.*

"Oui, les derniers morceaux de Mozart !...
Où avez-vous appris à jouer du piano, Rosalie ? Vous ne me l'avez jamais dit, depuis que vous êtes arrivée vivre ici avec nous !"

*Elle lui sourit.*
"Chez Oscar de Jarjaye, monsieur."

"Ah, oui, c'est vrai que vous avez vécu quelque temps chez le Colonel..."

"oui il a été si gentil avec moi, monsieur."

*Hmm ! remarque le Popo. Elle a rougi en disant cela...
Aurait-elle eu un petit flirt avec le Colonel ?*

"Et... vous vous entendiez bien avec lui ? On dit à la Cour que c'est quelqu'un d'assez dur."

"Pas avec moi. Il a été gentil et compréhensif. Et surtout très patient."

**Et de sa patience, vous remets debout (Et un jour une femme.)**

ùLe Popo et le tact, ça fait 2 !!!
Aussi n'hésite-t-il pas à demander, directement ...*

"Et... il y a eu quelque chose entre vous deux ?"

** **
"Heu... non, il n'y a rien eu."

"Permettez-moi d'en douter !
Vous rougissez, ma chère Rosalie... Cela vaut un aveu."

"Non. Je l'ai aimé, mais il n'y a rien eu, monsieur."

"Eh bien, vous êtes franche... j'aime bien les gens francs !
Vous avez donc vécu un Amour malheureux et non partagé, ma chère ! Je vous plains de tout mon coeur."

"Je vous remercie, monsieur."
*Elle baissa la tête.*

"Je vous comprends, vous savez ...
Parce que moi aussi, en ce moment, j'aime quelqu'un... en secret !"

*Toujours yeux baissés.*
"Et qui ?"

"Une jeune fille, fraîche et légère comme la brise de Printemps...
Je la connais depuis peu de temps mais je sais déjà une chose essentielle :
c'est que... je l'aime !"

**Et... aimer... c'est ce qu'il y a de plus beau ^_^ au monde !
,pense le Popo quadra' qui se sent l'âme d'un jeune Roméo.**

"Oh, une jeune fille. Et qui est... cette jeune fille ?"