délire St Just/Rosalie lamorielle

<<<Ruelles

*nanar et Tony attendirent que Oscar descendit pour lui annoncer la bonne nouvelle. Tony ne tenait plus en place*

"Tony arrètes de trépiner . Tu vas la voir ton Oscar !!!"dit-nanar d'un ton exaspéré.

*Le coeur de Saint-Just faisait des bonds HENAURMES, comme ça, dans sa poitrine, comme à chaque fois qu'il se trouvait près de voir son "Ange blond".*

"Tu devrais comprendre, Bernard, puisque... tu le sais... je l'aime !"

*Pensées de Saint-Just :
Il me tarde de la voir, il me tarde de la voir !!!*

** -Mais pour cela, mon cher Nanar, je crois qu'il va nous falloir attendre... un jour ou deux !**

*Fébrile, Saint-Just frappa à la porte du château Jarjayes et ce fut bien sûr Grand-Mère, la gentille gouvernante d'Oscar, qui leur ouvrit.*

*La gentille Mamie Marron Glacé connaissait bien sûr très bien Bernard, le mari de Rosalie, et le poète qui poursuivait sa petite Oscar de ses assiduités ^_^ (ainsi Grd'mère avait-elle surnommé Saint-Just ! Lol !).
Mais elle fut étonnée de les voir là, réunis tous les deux.*

"Monsieur Châtelet ! Monsieur le poète "qui p..." (Oups ! Pardon !!! La méga-gaffe !) Monsieur le poète-Chevalier !
Que faîtes-vous là... tous les deux ?
Mon Dieu ! Est-il arrivé quelque chose à Rosalie ?"

*Saint-Just prit la parole, (non sans s'être demandé avant (activité cérébrale intense) pourquoi la gouvernante d'Oscar écorchait toujours son nom : "Kip" ou "Kipourss", comme elle disait toujours, c'était quand même bien loin de "Florelle de Saint-Just", non ?!!)*

"Tranquillisez-vous, Madame !
Il n'est rien arrivé de mal à Rosalie, elle se porte bien et même... je peux vous annoncer qu'elle vient de donner la vie à un charmant petit garçon... mon premier petit cousin !"

*La charmante vieille femme applaudit de joie, des deux mains et introduit les deux jeunes hommes dans la salle à manger du château Jarjayes, tout en parlant d'abondance...
(Une seconde Colette ^_^ pour Oscar ^_^, !)*

"Oh, mon Dieu ! Que je suis contente pour Rosalie... Je disais justement, pas plus tard que hier soir à ma petite Oscar en lui démêlant les cheveux, que Rosalie n'allait sûrement pas tarde à accoucher, mais... je redoutais un peu cela, vous comprenez...
Venez, je vais vous servir à boire quelque chose pour fêter ça !
Il va falloir que vous me racontiez tout ! Comment est ce bébé ? A qui ressemble-t-il, à ma petite Rosalie ?"

*Tout en prenant le verre de vin que lui tend Grand'Mère, Saint-Just sourit et répond à toutes ces questions...*

"Eh bien... pour ce qui est de la ressemblance, vous irez voir le bébé et vous en jugerez par vous même, Madame !
Le fils de Rosalie et Bernard est un bébé potelé, solide, qui se porte bien...
Et... nous sommes venus tous deux ici voir Oscar, parce que nous avons une requête à lui faire... justement au sujet du bébé.
Oscar n'est pas au château, Madame ?"

"Non, elle n'est pas là... Elle est en mission pour la Reine, mais elle ne va pas tarder à rentrer. Vous allez donc l'attendre ici avec moi.
Euh... puis-je savoir quelle est cette demande importante, apparement, que vous voulez faire à Oscar ?"

"Cela, Madame, je laisse au Père de ce petit garçon le soin de vous l'apprendre !
Bernard ? veux-tu expliquer cela à Grand'Mère ?"

** A toi, Nanar ^_^ !**

**Tu ne trouves pas que tu as un peu beaucoup monopolisé la parole.**

"Voilà comme le disait tantôt Tony, rosalie vient de donner naissance à un magnifique Oscar. Et on aimerait qu'oscar soit la marrainne de ce petit bonhomme. Grand'mère tu pourras lui dire quand elle reviendra."

Le général était plongé dans ses papiers, il lisait negligemment en descendant les escaliers...
Il continua son chemin, les yeux fixés sur son parchemin et finit par se heurter à quelqu'un...

*Non de non de non d'un schtroumpf! on ne peut même plus se balader tranquille chez soi!!!*

"Bonsoir Mr, que puis-je pour vous?"

*Demande moi un truc qui me plaît pas je te fais avaler ton dentier*

"Quel temps merveilleux vous ne trouvez pas? "

*La pièce serait plus claire si vous n'étiez pas là...*

"Vous attendiez Oscar peut être?"

*Ma maison va finir en maison close, c'est pas possibleuhhh*

"Bonjour Mr le Général . Excusez moi mais oui on vient voir Oscar pour lui annoncer la grande nouvelle."

*Y'a intérêt à ce qu'elle soit vraiment grande cette nouvelle! Je viens de perdre ma ligne, maintenant va me falloir une heure pour la retrouver! non mais je vous jure les jeunes de nos jours plus aucun respect pour les fossiles...*

"Peut-être puis-je aller la chercher, elle a du ouvrir son lit enfin je voulais dire sa porte à un charmant jeune homme, elle ne devrait pas etre trop occupée pour une aussi grande nouvelle..."

*Saint-Just, qui a déjà eu l'occasion de croiser le Général dans un autre Délire ^_^ et qui le considère comme son futur beau-père (Eh oui, puisque le petit poète transi-d'amour-pour-Oscar a l'ambition d'épouser celle-ci !...) se précipite vers lui, prenant encore une fois les devants par rapport à son cousin, pour lui faire sa cour.*

"Oh, Général ! Comme je suis ravi de vous revoir !
Je ne saurais vous exprimer aves des mots combien je suis impatient de voir votre fille ! Mais Grand'Mère (Vous premettez que moi aussi, j'appelle votre chère gouvernante Grand'Mère, n'est-ce-pas ? -Comme si je faisais déjà ^_^ partie de la famille ?) -Grand'Mère, donc, nous a dit qu'elle était en mission et non dans le château."

"C'est exact, Général... C'est ce que m'a dit Oscar elle-même ce matin, en prenant son chocolat chaud dans le salon.
-Bon, je vous laisse, mes fourneaux m'attendent... Si vous voulez votre "lièvre à la Royale" pour le souper, Général... je dois y aller !
Au revoir, Messieurs !"

*Poursuivant toujours son opération Séduction ^_^ sur tous les habitants du château, le poète envoie un chaleureux sourire à la vieille dame, qui attendrirait les coeurs les plus endurcis.
( -le même sourire avec lequel il a fait la conquête de ses propriétaires de la chambre qu'il occupe rue des Faisans !)*

"Au revoir, Grand'Mère cordon bleu ! Je suis sûr que votre lièvre doit être un régal."

*Puis il se tourne vers son futur beau-père ^_^.*

"Général, je ne sais pas si Bernard veut rentrer immédiatement sur Paris, mais... pour ma part, je voudrais parler à Oscar ce soir, -déjà, pour lui annoncer la grande nouvelle pour Rosalie-. Puis-je rester avec vous ?"

*Elle est partie? Quand ça? Et lui je le connais? Aïe, ma mémoire qui part en vrille!!! Allez, répète cent fois : "Je ne suis pas senile, je ne suis pas senile, je ne suis pas senile, je ne suis pas senile, Je ne suis pas senile, je ne suis pas senile, je ne suis pas senile, je ne suis pas senile, Je ne suis pas senile, je ne suis pas senile, je ne suis pas senile, je ne suis pas senile, Je ne suis pas senile, je ne suis pas senile, je ne suis pas senile, je ne suis pas senile..." Nooooonnnnn!!*

"Je suis ravi de vous revoir également, Mr...heu, Mr...Mr."

*Je ne suis pas sénile, je ne suis pas senile, je ne suis pas senile*

"Avec plaisir, peut être pourriez vous partager ce lièvre à la Parisienne, heu a la.. a la...a la grand mère..."

*Je ne suis pas sénile, je ne suis pas senile, je ne suis pas senile*

*nannar porta secours aupauvre Général qui commencait à perdre la tête.*

"Mr Le Général je vous présente mon cousin le Chevalier Antoine Florelle de Saint Just. Il en ce moment quelques temps à Paris pour dorloter son nouveau filleul, Oscar qui vient de naître. Sa maman Rosalie serait heureuse de vous revoir mon Général."

*St-Just? Rosalie? Oscar? Agna! Respire! Remise en ordre des données, Rosalie amie Oscar, Oscar fils de Rosalie, et l'autre c'est qui alors?*

"Donc cher Chevalier de St-Just vous comptez rester quelques jours à Paris? Excellente idée..."

*Super va encore y'avoir gros squattage chez papi Jarjayes...*

"Euh... En fait, Général... Mon cher cousin n'est pas encore au courant... mais je peux dire maintenant que je suis devenu parisien à 100 %... et que je compte vivre ici, à Paris. Je m'y suis d'ailleurs installé définitivement.
(Il pique un fard, selon son habitude et baisse les yeux.) Et cela, par amour ! Oui, j'ai deux amours : la poésie et une femme que j'aime avec passion. C'est surtout pour elle que... que je suis là !"

** Si le Général se doutait que cette femme en question est son "Ange blond" de fille, je suis sûr qu'il en avalerait son dentier !
(Car... il a bien un dentier, ce Géronte d'opérette ? Non ?!!)**

*Nanar donna un grand coup de coide dans l'(estomac de Tony.*

"Va s-tu te taire espèce de pie jacasse !!!! Tu veux t'attirer les foudres de Papy Jarjaye ou quoi ?"dit-il entre ses dents.

"Alors comme ça cachotier tu ne m'avais pas dit que tu revennais à Paris définitivement ? Et où vas-tu loger pardit ?" dit-il tout haut en n'en pensant pas moins*

Oh non je vais devoir encore me le coltiner dans les pieds. Qu'est-ce qui peut être collant à la fin !!!

"Je pense cousin qu'on va laisser le Général à ses devoirs et on reviendra plus tard pour voir Oscar. Il est temps que je rentre à la maison pour voir comment va Rosalie . Au revoir monsieur le Général et à bientôt."

*Il entraîna Tony par la manche et sortit.*

"Rester à Paris, excellente idée, c'est une ville charmante et les belles demoiselles n'y manque pas..."

"Ainsi vous nous quittez déjà, Et bien messieurs vous serez toujours les bienvenues dans la maison de pap...heu du general de Jarjayes..."

"Euh... Général ! C'est Bernard qui veut partir... (Normal, il lui tarde de retrouver sa femme et son petit !)... Mais moi, j'aimerais bien rester encore un peu ici... en votre compagnie que j'apprécie beaucoup... en attendant Oscar ! Je dois... enfin, j'aimerais, plutôt... lui parler, en effet !"

*En attendant la réponse du Général, Saint-Just se rapproche de son cousin Nanar et lui glisse en douce, tout bas, dans le tuyau de l'oreille...*

"Bernard ! Pour répondre à tes questions : et d'une ! Je ne compte pas squatter chez toi, puisque j'ai un logement comme tu le sais, rue des Faisans (avec un bail de 3 ans en bonne et dûe forme, !)... Et de deux ! je suis venu ici pour voir Oscar et je ne partirai pas sans l'avoir vue, sauf bien sûr si le Général me flanque dehors avant son arrivée ! Et de trois ! Il faut que Rosalie, le bébé et toi soyez un peu seuls, alors tu n'as guère besoin de moi chez toi il me semble !!! (Dans quelque temps peut-être, si tu as besoin d'un Baby-sitter pour aller à l'Opéra avec Rosalie tranquilles, tu pourras m'appeler mais... pas aujourd'hui !"

*Ouf ! Quel speech !!! (Encore une fois !!!) Saint-Just espère que le Général, qui doit être tâtillon avec les bonnes manières, ne va pas se vexer de ce petit a-parté !
...Et qu'il n'aura pas entendu grand'chose de la conversation ! (A son âge, il doit être un peu dur de la feuille, heureusement !)*

Le General fit genre, "J'ai rien vu, rien entendu!" (ce qui n'etait pas vraiment faux puisqu'il était sourd et myope...)

"Permettez moi de vous retenir à dîner cher Chevalier de St-Just. Il nous faut rattraper le temps perdu et mon cher ange blond ne devrait pas tarder..."

*pas toucher à l'ange blond? chasse gardée!*

*Pour un peu, Saint-Just hurlerait et bondirait (comme Tigrou) de joie, -car il n'en espérait pas tant !!!
Ainsi il va, non seulement, revoir son "Ange blond" (enfin, "leur Ange blond", puisque Oscar est aussi l'Ange de son Papounet -mais Saint-Just peut partager, il n'est pas égoïste à ce point-là et ne veut pas Oscar rien-que-pour-lui-tout-seul.) . Mais en plus, il va goûter au "lièvre à la Royale" de Grand'mère cordon bleu !!!
La joie se lit sur son visage (Enfin, pas pour Papa Jarjayes s'il est si miro que ça...) et il répond avec civilité.*

"Je vous remercie mille fois, Général.
Moi aussi, il me tarde de faire plus ample connaissance avec vous."

**Tout se passera bien, évidemment, entre le Chevalier et le Général, tant que ne sera pas abordé le sujet brûlant de... la politique !**

Le général regardait le pauvre homme d'un air désabusé...

*Pourquoi Oscar ne peut elle jamais ramené des gens normaux dans ma demeure?*

"Heu ravi que ça vous plaise..."

Il se tourna vers bernard de Chatelet qui semblait plus sain d'esprit...

"Et bien Mr mes hommages à Rosalie, je vous souhaite une agréable fin de soirée..."