Harcèlement du Popo (2)

*La reine ragarda ce touchant tableau avec un sourire un peu protecteur.*

"Dîtes-moi que vous me pardonnez, Rosalie !
(Julie de Polignac leva la tête vers Marie-Antoinette.) Oh ! Regardez, Majesté ! Ma fille a eu tellement peur... qu'elle ne peut dire un mot !"

"Il faudrait que nous trouvions uen solution, madame. je crains que votre époux... ne s'ne tienne pas là."

"La seule solution, ô Majesté ! Ce serait que, dès ce soir, Monsieur de Polignac quitte notre demeure et aille s'installer... où bon lui semblera !
Je ne veux plus vivre sous le même toit que... ce monstre !"

"Il y aurait une autre solution."

"Une autre solution ?
Laquelle, Majesté ?"

"Que Rosalie se marie."

*Julie de Polignac regarda son amie Marie-Antoinette, comme si elle venait de dire là quelque chose de... surincroyable, ou d'absurde.
Puis elle regarda à nouveau sa fille, toujours blottie dans ses bras, toujours silencieuse...*

"Mais... ? Majesté ?
Ma fille, se marier... Mais... avec qui ?
J'avoue que... je viens juste de la retrouver et... et je voulais la garder quelque temps auprès de moi... je n'avais pas pensé à la marier de suite. Mais..."

*Victor s'avança.*
"Moi, madame. Moi, je souhaiterais épouser Rosalie."

*Rosalie se tourna vers Girodelle et eut un air très surpris. Puis elle esquissa un sourire et jeta un regard suppliant à sa mère.*

*La Popo regarda alternativement la Reine, puis Girodelle, puis sa fille... elle ne savait que dire.*

"Eh bien... Lieutenant, moi je suis d'accord. Mais... mais il vous faut poser la question à ma fille.
Seule Rosalie décidera quel est celui qu'elle épousera. Je me le suis jurée... peu parès la mort de ma pauvre petite Charlotte."

*Comme pour montrer son accord, Rosalie s'avança vers le comte de Girodelle et lui prit la main.*

"Oh, que ce geste est joli !
Je crois que Rosalie a décidé, Majesté... Lieutenant !!!
Comte de Girodelle, je suis fière de vous donner ma fille..."

*Le comte sourit et embrassa tendrement la jeune fille.*
"Je vous aime, Rosalie. Je prendrai soin de vous."

*Elle répondit à son baiser pui se serra contre lui, yeux clos. Elle serait heureuse désormais.*