Le Harcèlement de la Polignac (1)

*André en profita lui aussi, ayant prévu ce coup là, il lui envoya....un plein seau d'eau dans la figure.. et prenant sa veste en courant, sor tit rapidement de l'écurie*

"Mdr ! Une mise en plis faite par Léonard (et qui m'a coûté la peau des fesses !) bouzillée ! C'est malin... Comment vais-je pouvoir aller assumer mes fonctions ayprès de la Reine, maintenant, avec cette tête-là ?
Ah, il me le paiera...
Et de la façon dont je veux : JE L'AURAI ! Je le jure, JE L'AURAI !"

*Le lendemain, la Popo, recoiffée après une séance chez Léonard, cherche partout sa "proie" dans les jardins de Versailles. Sans trop oser s'approcher des z'écuries, où il y a des seaux d'eau et des râteaux !*

*André était occupé à regarder les roses blanches (comme par hasard) et pensais à Oscar, elle était un peu comme sa soeur, mais se comportait comme son frère! Cette pensée le fit sourire*

*Aaaah, le voilà ! Observons-le un instant : tiens, il a l'air de bien aimer les fleurs, et... oui, il sourit même en les regardant. Oh, il doit être très sentimental, c'est un signe, ça, qui ne trompe pas !
Je vais l'aborder et retenter ma chance !*

"Bonjououououour,... Cher André ! Je peux vous appeler comme ça, n'est-ce-pas ?"

**Ben tiens, nous sommes intimes ; il m'a même donné une douche !
**

*Je l'aurai, je l'aurai !*

**Le retour de la sangsue 2! **

*André commençait a trouver EXASPERANT le fait que la Polignac s'acharne sur lui alors qu'il y avait d'autres palefrenier*

''Mais je vous en prie, si cela vous fait plaisir...''

*dit il en soupirant*

"Bien sûr, que ça me fait... PLAISIR !!!
Euh... je vois que vous admirez les Roses blanches de la Reine, Andréééééééééé !!! Vous aimez les fleurs ? A quoi vous font-elles penser ?"

*Elle m'enerve a beler tout le temps!!!!!!!!***

''Elles me font penser a Oscar!''

"Comment ?!! A Oscar de Jarjêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêê ?!!"

**Oui, elle bêle, la Polignac ! Une sale manie qu'elle a prise en conversant avec les moutons du Hameau de la Reine ...
¨Mêêêêêêê !**

''Oui madame Oscar de Jarjayes!!!! Cela vous dérange t'il?''

"K... K... KOI ???"

*J'hallucine ! Il a dit...?*

*André rit*

''Je fais référence à ses qualités Madame pas à sa personne! Et non, je n'aime pas les hommes!''

*La Popo, qui n'y comprend plus rien, parce que, pour elle, le Colonel de Jarjayes est un homme, rit bêtement...*

"Aaaah ? ha, ha, ha ! C'était une plaisenterie, alors ? Ha, ha, ha ! Quel humour fin vous avez, André !
J'aime beaucoup l'humour !..."

**Dans quelques posts, elle va dire qu'elle "aime (aussi) beaucoup les chouchis " !
**

''Non, ce n'est pas de l'humour, Oscar a une personnalité très forte! Il peut être très gentil comme les pétales mais si on le blesse, il blesse a son tour comme les épines!''

*André délaissa les fleurs et commença à partir*

"Hep ! Attendez un moment, mon ami ! Il n'est guère galant de laisser une Dame (comme moi) dans la détresse, seule dans ce jardin !"

*Isis ayant vu qu'André était en difficulté, décida de l'aider à se débarrasser de cette femme! Elle s'avança vers lui le sourire au lèvres*

''Bonjour mon André!''

*Elle se jeta dans se sbras et l'embrassa*

"Quoi ? Quoi ? Quoi ?!!"

**C'est la danse des canards...
Qui en sortant de la mare
Lancent leur joyeux coin-coins !
KOI-KOI-KOI-KOI !**

*Isis quitta ses lèvres et appuya sa tête contre lui en souriant*

''Tu m'as manqué tu sais!''

*plus bas pour lui seul*

''Jouer le jeu André!"

*André comprit en voyant le regard noir de la Polignac vers Isis, il lui sourit tendrement et la serra dans ses bras*

''Toi aussi tu m'as manqué''

*Non mais ! Qui c'est, cette péronnelle qui vient me prendre mon quatre heures, là ?*

"Hmm, hmm ! Désolée, Mademoiselle ! Mais je dois m'entretenir avec Monsieur Grandier pour une affaire de la plus haute importance, sur rordre de sa Majesté la Reine ! Veuillez nous laisser en tête-à-t... Oups, seuls, je voulais dire ! Je vous prie !"

''Vas y , je te retrouve tout à l'heure! ne t'inquiéte pas!''

*Il l'embrassa rapidement puis se tourna vers la Polignac*

''Et bien Madame que désirez vous?''

*Zut ! Il va falloir que je trouve quelque invention plausible, et vite...!*

"Eh bien... vous savez que je suis gouvernante des enfants royaux... eh bien, je voudrais que vous veniez, chaque matin, chez moi. Vous donnerez des leçons d'équitation au Dauphin, euh... sur un de mes cheavux personnels qui est très docile et convient pour un débutant. Le nom de ce cheval est... désir noir !"

*Oui, parce qu'il a une crinière noire aussi longue que tes cheveux et que je te désire... si tu comprends pas après ça !!!
Oups... il faudra que je débaptises Choupinet et que je l'habitue à son nouveau nom avant demain !*

*André resta un instant perplexe*

''Très bien madame, si c'est ce que vous désirez!''

"Très bien ! C'est donc entendu ! A demain matin, devant les écuries des Polignac !
Maintenant, je vous laisse à votre... hmm, exotique amie !!!"

*Programme chargée pour la Julie de Polignac, dans les heures qui suivent :
1/ Convaincre MA de faire donner des leçons d'équitation au petit Dauphin. La Popo y parvient en utilisant l'argument classique que faire du sport est excellent pour la santé... au bout de deux heures de discussion, quand même !
2/ Aller annoncer au Dauphin que demain matin, il aura la cahnce de prendre sa première leçon d'équitation. Plus simple ! Il bondit de joie, embrasse sa gouvernante en la remerciant d'avoir eu cette idée de génie. (Le Dauphin, rappelons-le, est "fan" d'un certain Colonel des Gardes Royales et rêve de savoir chevaucher comme lui ...)
3/ Aller aux écuries de la maison Polignac faire schampooiner et lustrer "Désir noir" pour le lendemain matin.
4/ Aller elle-même chez Léonard, se faire coiffer et manucurer pour e^tre séduisante le lendemain matin, elle aussi .
5/ Aller à l'Institut de Beauté, se faire faire un nettoyage de peau (pour la même raison qu'au numéro 4).
6/ Aller chez Rose Bertin, chercher sa nouvelle robe (pour la même raison qu'aux numéros 4 et 5).
7/ Avec tout ça, c'est déjà l'heure de se coucher, ou presque, lorsque la Popo revient chez elle, mais... L'HORREUR ! Elle réalise qu'il lui reste un détail de poids à régler : habituer son cheval à son nouveau nom !
Et ainsi, elle passe les trois-quarts de la nuit dans le box du cheavl noir, à lui répéter : "Tu t'appelles "Désir noir", maintenant... Désir noir, désir noir... Compris ? Un bout de sucre, Désir noir ?"
Avec tout ça ...
Le lendemain matin, neuf heures du mat' ...
... la Popo n'est pas très fraîche ! Mais elle est la première devant les écuries, à attendre le Dauphin et sa femme de cahmbre qui doit l'amener, et surtout... André !*
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