Délire politique

**Puis qu'on a pas mal de débateurs sur ce forums bien sympas, moi Charles de Gaulle, ait décidé de mettre e,n relation les opinions des dirigeants et des débateurs de tous temps ici même. A ma droite Jules César, à ma gauche Jacques Chirac et George Bush, en face, monsieur de Saint Just et bien d'autres réunis dans cette conversation.**
"Je déclare le débat ouvert, qui a une opinion à communiquer ?"

*Saint-Just lève la main droite, comme à l'Asssemblée Nationale, pour demander la parole.*

"Oups ! Moi !
J'ai en effet quelque chose à formuler ! Je suppose que nous sommes tous réunis, ici, pour parler (sérieusement ?) de la République."

*Il se tourne vers Jules César, qui a l'air de bouder, les jambes croisées, sa couronne de lauriers un peu de travers sur la tête.*

"Et avant de commencer ces débats, je tenais à vous dire , ô grand César Emprereur, que je suis très honoré de me trouver ainsi, aujourd'hui, à vos côtés. J'ai toujours devant les yeux, pour exemple, pour la République française, la "Res Publica" de Rome, qui a été la vôtre dans l'Antiquité."

*Puis il se tourne vers les autres et jette, après un regard vers de Gaulle, Chirac et "Deubeulle You" Bush.*

"Quant à vous, Messieurs, je n'ai pas l'honneur de vous connaître...
De quelle faction êtes-vous ? Pour résumer ?
Nous ne pouvons guère engager un débat "Délire" sérieux, si j'ignore vos oipnions en manière de politique !"

Moi, j'en ai marre. Depuis des mois on peut même plus aller dans les facs. Tout est bloqué à cause des grèves anti CPE. Tout le monde est contre mon bôôôôôôô gouvernement. Arf ras le bol.

Toute façon les meilleurs ce sont les Américains.

"Ooooh ! (Saint-Just est surpris.) Ainsi, nous avons parmi nous un habitant des neuves Amériques ?!!"

*Il ne m'a pas l'air sympathique, ce gars-là... Avec son visage tout bouffi et ses yeux enfonçés...*

"Eh bien, vous allez pouvoir nous expliquer... votre nouveau système démocratique. J'avoue que votre nouvelle nation ne m'a que très peu intéressé. Je préfère agir où je suis, en France..."

*Saint-Just se tourne vers Jules César, qui a l'air... ailleurs, visiblement.*

"Pays neuf... et pays antique, comme le vôtre, ô César ! Nous allosn pouvoir comparer nos idées de la République et dis..."

"La Res Publica ? Non, merci...
Je préfèrerais parler, pour ma part, des adoptions ratées !"

*Saint-Just manque s'étrangler de surprise... ce n'est pas ainsi qu'il imaginait le plus grand Empereur de Rome !
Il n'a en face de lui qu'un vieil homme triste et désabusé, déçu...
Apparement, Jules César est encore sous le choc de son assassinat par son fils daoptif Brutus, aux Ides de Mars !*

"Ad... Adoptions... ratées ?
Oh, je vois... Vous pensez à la trahison de votre fils Brutus."

"Oui ! Je voudrais témoigner... ça pourra toujours servir à d'autres !
(Il se lance dans un speech... il n'a pas été orateur pour rien !) Oui, quand j'ai adopté Brutus, il était un tout jeune enfant... Bien sûr, je n'ai pas trop eu le temps de m'occuper de lui, (j'étais trop pris par mes fonctions, ce n'est pas à vous tous qui faîtes le même métier que moi, d'après ce que j'ai cru comprendre, que je vais vous l'apprendre...). Mais il n'a jamais manqué de rien et je le considérais vraiment comme mon fils.
Et voilà, un jour il m'a trahi... il m'a tué !
Comprenez ma déception et mon envie de témoigner, Monsieur Delarue !"

** Voilà que Jules César se croit à la TV et qu'il prend Saint-Just pour Delarue !**

"Oups ! Antoine de Saint-Just, pas de La Rue !
O grand César, je suis sincèrement désolé pour vous... Je vous propose... de vous reposer un peu pendant que nous allons commencer à parler de la République entre nous quatre... et vous pourrez venir vous joindre au débat un peu plus tard, quand vous vous sentirez mieux ? Et quand vous aurez digéré votre déception familiale ?"

*Une déception qui dure depuis plus de deux mille ans...
Eh bien le Jules, il a le chagrin tenace !**

"Messieurs... Bush (C'est ça ?), de Gaulle et Chirac ? Nous continuons donc entre nous ?
Vous avez l'air déçus, vous aussi, Messieurs de Gaulle et Chirac... Est-ce aussi pour une raison privée, comme... le vieux Jules ?"

"Ces *** m'ont déétruit mon bôooooo World Trade Center !"
*Et là Bush clame d'un poing furieux.*
"Ceux qui défieront les Etats-Unis seront détruits par des bombes !!!!!"

"Il va falloir organiser la Résistance. Monsieur de Saint Just connaîtriez-vous de bons patriotes ?"

"Mes chers concitoyens, il importe de rester calme face à la terreur qui s'oppose à nous. Il faut que..."

**rrrrrrrrrrrrrrrrr***
"zzzzzzzzzzzzzzz"

*Avec satisfaction, Saint-Just regarde Djordje Deubeuleu You qui s'est endormi (sans doute est-il arrivé déjà fortement alcoolisé ! ) : cet homme lui était antipathique, c'était épidermique... et pourtant, Saint-Just ne le connait pas !!!*

**Donc, bien heureux que ce petit roups de Bush m'évite une discussion avec lui...
Aurais-je su garder mon calme ? Et parvenir à rester "dans le Délire" ?...**

*L'Archange se tourne vers ses deux seuls interlocuteurs "sensés" (Jules César bramant en silence dans son coin après son adpotion ratée) et leur répond.*

"Des patriotes ? Mon cher ami ? (dit-il à de Gaulle). Il me semble que vous en avez un en face de vous : moi !
Je suis prêt à donner ma vie pour la France et son progrès... pour une vraie évolution de la société.
(Puis, il se tourne vers Chirac et il rajoute...) Et ce, même s'il faut utiliser LA TERREUR pour pouvoir évoluer !"