Psychologie

Cette fic m'a été inspirée par le topic Lassonne psy, merci à Alex.

Chapitre 1 : Oscar de Jarjaye.

Psy : Bonjour, colonel !
OJ : Les médecins sont tous des charlants.
Psy : mais non, je ne suis pas un charlatan. Je suis un médecin DE-L'ES-PRIT
OJ : Pauvre esprit !
Psy : Hmm oui bon. Alors, dites-moi tout; pourquoi êtes vous venue me voir ?
OJ : Parce que c'est obligatoire pour tous les soldats.
Psy : Hmm, bien sûr oui, mais vous devez bien avoir quelque chose à me dire.
OJ : Non.
Psy : Même pas au sujet de votre... hmm... féminité.
OJ : Non.
Psy : Vous n'en voulez pas à votre père de ne pas vous avoir permis de connaître les joies dela féminité ?
OJ : Non.
Psy : mais ce doit être déroutant de commander une troupe d'hommes quand on est une femme.
OJ : Non.
Psy : Alors vous êtes heureuse de votre sort.
OJ : parfaitement satisfaite.
Psy : Hmm.
OJ : Ca veut dire koi ce Hum ?
Psy : Moi j'en voudrais à mon père !
OJ : Je remercie mon père. Grâce à lui, je en suis pas affublée de ces froufrous.
Psy : Hmm je vois.
OJ : Bon, je peux y aller maintenant ? J'ai des ordres à donner.
Psy : Heu, et bien...
OJ : Et bien ?
Psy : oui, bon d'accord.
Oscar sortit en claquant la porte.
Psy : Dieu, qui est le prochain, comte de Girodelle ? Hmm.

Chapitre 2 : Victor de Girodelle.

Psy : Bonjour, monsieur de Girodelle.
VG : Bonjour docteur.
Psy : Et bien monsieur, pour quelle raison êtes-vous venu me voir ?
VG : Parce que c'est obligatoire pour tous les militaires !
Psy : Oui, hmm, mais vous n'avez rien à me dire ?
VG : Et bien que faut-il dire ?
Psy : Parlez-moi de vous !
VG : Oh il faut parler de soi ? Facile ! Et bien, je suis un comte, super beau et qui plaît à toutes les filles. Je suis lieutenant dans la Garde Royale et je suis super fort en escrime. En plus, je suis riche !
Et modeste, pensa le psychiatre.
Psy : Hmm, je vois. Ca ne vous fait pas mal d'avoir été battu par une femme ?
VG : Non, parce que grâce à cela je peux travailler sous ses ordres et je l'aime tant, c'est merveilleux !
Psy : Oui, mais pas elle.
VG : Non, c'est vrai, elle ne m'aime pas, ne m'aimera jamais, mais je continue à évoluer dans son ombre, car elle est telle le soleil, je...
Psy : Hmm, oui, c'est ça.
VG : Oh, docteur, n'est-elle pas la plus belle femme qui soit ?
La plus froide aussi.
Psy : Hmm, vous avez raison. Je pourrai peut-être la demander en mariage.
VG : Quoi ? Mais de quoi parlez-vous ?
Psy : Eh, je suis noble moi aussi.
VG : Essayez et vous verrez !
Victor essaie de taper sur le psy. Aie, ça fait mal !
Psy : mais non, mais non, je plaisantais. Allez donc la retrouver.
VG : Oui, vous avez raison, ne perdons pas de temps.
Et Victor s'envola plus qu'il ne marcha vers la sortie.

Chapitre 3 : Rosalie Lamorielle.

Psy : Bonjour, mademoiselle Lamorielle.
RL : Bonjour, docteur, comment allez-vous ?
Psy : Heu très bien et vous même ?
RL : en pleine forme , je vais me marier avec un journaliste du nom de Bernard Châtelet.
Psy : Oh heu dans ce cas, pourquoi venez-vous ?
RL : Je me disais que vous deviez vous sentir seul dans votre petit cabinet.
Psy : Oh mademoiselle, vous êtes bien gentille !
RL : En plus, vous devez en voir passer des cas. C'est étonnant que vous ne déprimiez pas !
Psy : Oui, surtout avec les deux derniers cas.
RL : Qui ?
Psy : Oh mais je n'ai pas le droit de divulguer ces informations !
RL : Oui, je comprends. Et vous, dites-moi ?
Psy : moi je trouve Oscar de Jarjaye très belle.
RL : Vous l'aimez ?
Psy : Heu, je ne sais pas, mais l'épouser serait avec joie.
RL : Oui, je vous comprends docteur, même si c'est impossible.
Psy : Et oui puisque je suis marié avec trois enfants, bouhouhou.
Rosalie l'enlaça.
RL : Nepleurez pas, ça va s'arranger.
Psy : Vous croyez ?
RL : mais oui, vous aimez votre femme ?
Psy : Ben oui.
Rl : alors tout vabien.
Elle sourit.
Psy : Quel beau sourire, vous êtes très gentille, mademoiselle.
RL : Merci, docteur, bon je vais bvous laisser. Ca va aller ?
Psy : mais oui bien sûr !
Rosalie s'en alla avec un petit signe de main.

Chapitre 4 : Papa Jarjaye.

Psy : Général de Jarjaye.
GJ : Docteur.
Psy : Alors, dites-moi tout, pourquoi êtes-vous venu me voir ?
GJ : Parce que c'est obligatoire pour tous les soldats.
Psy : Vous allez pas tous me le sortir, bon sang, il n'y en a pas un qui peut me dire que c'es pour le plaisir comme la gentille petite Rosalie.
GJ : Hum.
Psy : Bon, de quoi allons-nous causer ?
GJ : Je n'en sais rien, c'est vous le médecin !
Psy : Heu oui, heu... Parlez-moi de vous ?
GJ : Hum.
Psy : Vos... vos filles, vous n'avez que des filles, n'est-ce pas frustrant ?
GJ : Non, j'ai Oscar.
Psy : Oscar est une fille.
Le général se leva brusquement.
GJ : peu importe ce qu'il est en réalité moi je dis que c'est un garçon ! J'ai décidé qu'il s'appellerait Oscar et qu'il serait mon fils ! ET JE NE LAISSERAI PERSONNE DIRE LE CONTRAIRE !
Le psy se fit tout petit.
Psy : Oui, oui.
Le général se rassit.
GJ : Hum.
Psy : Heu bien si vous n'avez rien à dire, je vais vous laisser repartir à vos affaires.
GJ : je vous remercie.
Il sortit. Le psy passa un mouchoir sur son front.
Je vais finir par mourir moi.

Chapitre 5 : Oscar, Grand-Mère et...

Psy : Et bien trois clients en une seule fois ! Puis-je connaître la nature du problème ?
OJ : Je suis ici parce que Grand-Mère a une obsession, elle veut que je porte des robes.
GM : Je suis ici parce qu'Oscar fait une fixation, elle croit que j'ai une obsession.
AG : Je suis ici parce qu'elle m'ont toutes les deux amenés, et j'aimerais rentrer chez moi le plus vite possible.
Psy : Hmm oui je vois, nous allons faire notre possible, monsieur Grandier. Alors Grand-mère, dites moi ? Il parait que la condition d'Oscar ne vous sied pas.
GM : Oui, mais je n'en veux pas à Oscar, le vrai coupable, c'est le général. A t-on idée de faire un homme d'une femme, je vous le demande.
OJ : Ce n'est pas une raison pour vouloir me faire porter des robes.
AG : Tu bois trop Grand-mère !
GM : Ah parce que toi tu es de son côté en plus ?
Psy : Oui, calmez-vous Grand-mère, nous allons reprendre la situation en main.
GM : Vous allez lui faire porter une robe ?
Psy : Heu non, mais...
GM : Ben alors qu'est-ce que je fais ici ?
Psy : Heu...
OJ : Ouais, bon c'est inutile, je pensais raisonner Grand-Mère mais j'ai eu tort de venir.
Oscar se leva et sortit.
GM : Elle n'a pas tort sur ce point, on a eu tort de venir.
Grand-mère se leva et partit.
Psy : Hmm ! Bon et vous André, on n'a pas eu encore de discussion sérieuse !
AG : Ben... hem...

Chapitre 6 : André Grandier

Psy : Alors, dites-moi, votre jolie patronne, vous ne seriez pas une peu...
AG : Un peu...
Psy : Un peu... hem...
AG : UN PEU ?
Psy : amoureux !
AG : D'Oscar ? Mais...
Psy : Rien de ce que vous direz ne sortira d'ici !
AG : Oui je l'aime, j'aime Oscar, je l'aime de tout mon coeur, de toute mon âme, je veillerai toujours à ce que personne ne lui fasse de mal. Oscar si belle, un ange descendu du ciel, sa longue chevelure bklonde, ses grands yeux azurs, elle est si délicieuse. Elle est merveilleuse.
Psy : Mais noble. Et vous ne l'êtes pas.
AG : Je vous l'accorde, mais je resterai son ombre à jamais et pour l'éternité.
Psy : Oh hem, bien sûr, oui, mais...
AG : Oh docteur, elle est merveilleuse, vous ne trouvez pas ?
Psy : Si, j'y songeais moi aussi.
AG : Oui. Oh docteur, je l'aime.
Psy : Oui, moi aussi.
Il secoua la tête.
psy : Heu non, non, je voulais dire, je vous comprends parfaitement, je...
AG : Moi aussi, j'ai bien compris docteur. Adieu. Vous n'êtes pas digne de confiance.
André sortit la tête haute.