Sur une idée et proposition de notre cher St Just !!
Merci à toi.
Oscar et André boivent en se regardant le breuvage secret, doux poison pour dans la mort les lier qu’André à préparé.
Alors qu’ils avalent chaque gorgée ensemble, c’est ensemble qu’ils posent leur verre.
« Pardon moi Oscar. »
« Pourquoi souhaite tu que je te pardonne ? »
« Peut etre n’en avais-je pas le droit, c’est sur, je n’en avais pas le pouvoir mais je t’aime Oscar je peux à présent te l’avouer, je me le doit.
Je n’aurais pu supporter de te voir dans les bras d’un autre »
« Que dit tu André ? Serait tu devenu fou ? »
André en même temps qu’Oscar ressentit une douleur, douce et presque amère
« Que m’arrive-t-il André ? ….
La douleur se fit plus forte
…il semblerait qu’une lame émoussée me traverse de l’intérieur »
« Oscar cette douleur que je ressent moi aussi n’est rien en comparaison de ce que j’aurais pu souffrir de te voir en aimer un autre »
Oscar du s’asseoir, la douleur se faisait de plus en plus forte, différente.
« André, dois je comprendre que tu t’es permis toi, un homme, un simple homme, de remplacer sur ma vie, la main de Dieu, la main du destin qu’enfin j’allais battre ? »
André tomba, genou au sol, au côté d’Oscar
« On ne peut combattre son destin Oscar, on ne peut, que l’alléger en y mettant fin »
« André ….tu aurais du savoir, que la femme, prenant plus de place en moi, aurait bien su, un jour, un jour de faiblesse, tuer, peut être pas, mais affronter cette fierté qui m’empêche encore aujourd’hui, de parler »
André versa une larme
« Tue cette fierté Oscar, tue la maintenant….le temps nous ai compté, laisse la femme en toi parlé, j’ai stoppé le destin par ce vin…j’ai mis fin à notre sombre destiné, nous allons mourir Oscar. »
« André, ce n’est pas ici la mort que je me serais choisi et pourtant, je me doit de l’accepter, fièrement . »
« Oscar ne changera tu jamais ? Même face à la mort ???
Je ne peux te demander de m’avouer un sentiment que tu n’as pas à mon égard je te prie simplement, avant de me quitter, de pardonner, à l’homme amoureux que je suis . »
Oscar tenta péniblement de se relever, elle le sentait à présent, la mort approché.
Perdant l’équilibre, André la rattrapa, par la taille, il enlaçait cette taille qui comme tout d’Oscar il désirait, elle fit tomber le roman , la Nouvelle Héloïse, qu’elle venait t’achever.
André étonnait lui demanda
« Me crois tu lâche de ne pas pouvoir, comme dans ce roman concilié passion et vertu ? »
« André….ce n’est pas le fait de ne pas pouvoir concilié passion et vertu qui est bassesse mais le fait de refuser de se battre pour ce que l’on désir. »
André lâcha son étreinte, et les larmes roulèrent sur ses joues
« Tu ne me pardonnera donc point…moi qui t’aimant plus que ma propre vie aurais voulu que tu meurt, entourée de mon amour infini »
Oscar se retourna, faisant face à André, la mort était là, toute proche, elle tomba, genou au sol et murmura
« M’aime tu…comme tu le dit….d’un amour infini ?
Si oui, tu as pardon André, je te le donne ….. »
« Oscar si nous avions eu des milliers de vie il n’y en aurait jamais eu assez pour te prouver combien je t’aime. »
Oscar s’effondra dans les bras d’André, une larme coula sur sa joue
« André …mon cher André….dans la vie comme dans la mort……. »
Elle n’eu pas la force, ni le temps de finir sa phrase.
Elle mourut, là, dans les bras d’André qui ne mit que quelque seconde à la rejoindre, si elle avait fini sa phrase il ne l’aurait pas entendu.
Il ne pu que l’imaginer.
C’est enlacé que leur deux corps furent retrouvé, un sourire de satisfaction aux lèvres, et une larme encore humide sur la joue.
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