Lady Oscar
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 Lettre à l'immortel bien aimé

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Oscar François de Jarjaye
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Oscar François de Jarjaye


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MessageSujet: Lettre à l'immortel bien aimé   Lettre à l'immortel bien aimé EmptyJeu 12 Jan à 5:53

Cette histoire se déroule à la fin du XVIIIème siècle….

Par une nuit qui semblait paisible un violent orage éclate, les éléments se déchaînent.
Là…dans son lit…le poing levé au ciel….Oscar de Jarjayes meurt des suite de ses blessures
Sur son visage on lit qu’elle l’attendait…cette mort….elle l’attendait paisiblement.

Nous sommes en 1791, Oscar de Jarjayes n’est plus….un cortège de plusieurs milliers d’hommes l’ont accompagné, elle que tout le monde appelait LE Colonel vers sa dernière demeure.
Alors que son amie, Rosalie Lamorielle rassemblait, en larmes, les affaires du Colonel, à la demande de son père…elle fit tomber une lettre, elle avait été ouverte…la cire la scellant était brisée.
Elle put y lire, écrit de la main d’Oscar, à coté de l'adresse : « A mon immortel bien-aimé »

Rosalie appela le Général
« Général Jarjayes !! Monsieur de Jarjayes »
Le Général masquant son émotion arriva et pris la lettre tendu par Rosalie il commença à la lire …
« Mon ange, mon tout, mon autre moi même …. »

Il jeta la lettre

- « Foutaise Oscar n’a jamais aimé !! Vous le savez aussi bien que moi Rosalie !! Mon fils a voué sa vie aux armes !! Cette lettre n’est destiné à personne !!! »
Il sorti claquant violemment la porte. Rosalie ramassa cette lettre la serrant contre son cœur.
« Il dit faux. Je le sait…vous avez aimé Oscar…oui vous aviez le cœur noble… Mais c’est vrai, je n’ai jamais entendu de tel mot de votre bouche…»

Elle tourna la lettre est pu y lire
« Que tout ce que je possède à ma mort te revienne, à toi, mon immortel bien-aimé. »

Rosalie décida donc de chercher avec le peu d’indice qu’elle avait…l’Immortel bien-aimé.
« André sera m’aider »

Elle se rendit chez André Grandier ancien ami d’Oscar et lui tendit la lettre.
André et Oscar s’était fortement querellés et ne s’adressait plus la parole depuis quelques années, mais Rosalie pensait pouvoir trouver de l’aide chez lui…il la connaissait tellement, sûrement l’avait il aimé…mais il c’était marié à une autre…

André lu la lettre…il la rendit à Rosalie lui disant sèchement :
« Le seul amour qu’elle nourrissait été pour les armes ou peut être pour elle même !! J’ai enduré son caractère, ses humeurs, je souffrait en silence….
Détruit cette lettre….elle ne ferrait que montrer au monde qu’elle vie sentimentalement désordonnée fut la sienne. »

« André !! C’est le vœux d’une mourante !! Je lui doit bien cela. »

« Tu n’as pas pouvoir en la matière !! »

« J’ai ce pouvoir !! André, elle était mon amie. »

« Ha Rosalie…toujours le chien fidèle…….quel ami serait si cruel ? »

« Et toi comment peut tu être si insensible ?! »


André lui répondit sèchement
« Vous ne connaissez rien d’Oscar !! »

Rosalie reprit la lettre et commença donc seul ses recherches ….
Elle fit demander une voiture.
« Mener moi au Grand Hôtel, à Paris.»


La petite voiture noir la conduisit chez le comte, pendant le trajet elle lu cette lettre écrite de la main d’Oscar
« Mon ange, mon tout, mon autre moi même…
Quelques mots seulement aujourd’hui et ce au crayon, le tiens.
Ce n’est pas avant demain que le Régiment sera totalement arrêté, quel misérable perte de temps pour de telle chose.
Et pourquoi se profond chagrin ? Si nous étions tout a fait réuni, nous n’éprouverions plus cette souffrance…. »


La voiture stoppa et Rosalie entra dans le Grand Hôtel.
Elle se dirigea timidement vers l’accueil.
Une veille dame lui souhaita la bien venu
« Bonjour Mademoiselle »

« Bonjour Madame ?? »

« Hallert. »

« Madame Hallert, Mademoiselle Rosalie Lamorielle»

La femme se leva pour consulter le registre
« Je vais chercher votre réservation »

« Ho et bien je crains fort de ne pas en avoir »

« Qu'importe nous avons toujours de la place en cette saison .. »

Rosalie lui tendit la lettre
« Est ce l’adresse de cet hôtel sur cette lettre ? »

La veille dame pris la lettre en main, posa sur son nez ses lunettes et lu.
« Un moment …oui oui bien sur »
Elle rendit la lettre a Rosalie qui lui demanda
« Connaissez vous ce nom Oscar François de Jarjayes ? »

« Oscar François de Jarjayes …le Colonel ?! »

« Oui. »

« Oh. J’en ai entendu parler »

« A-t-il jamais séjourné ici ? »

la vieille femme regarda Rosalie intriguée
« Vous n’êtes pas de la Police !! »

« Non …bien sur que non » lui dit Rosalie

« Dans ce cas je ne répondrait pas à vos questions ! » lança la femme

« Je vous en prie Madame…je m’efforce de régler sa….succession et.. »

« Ha …Ainsi le Colonel est mort .. » la vieille Dame se replaça derrière son comptoir

« Helas oui. »

« Moi je dit tant mieux !! C’était un être épouvantable !! Froid comme tu marbre ! Sans cœur … »

Rosalie la coupa
« Alors il a séjourné ici ? »

« Oh oui ..il y a quelque années ..ma mémoire est flou...à mon age …tout ce dont je me souviens c’est des dommages !! »

« Des dommages ? » Interrogea Rosalie

« Jamais je n’ai étais remboursé pour ces dommages.
Il a tout brisé dans la chambre !! Tout brisé !! Il y avait une chaise, un louis….Une fenetre, huit louis….tout faire repeindre…. »

Rosalie coupa la plainte de la dame et lui tendit 50 Louis
« Madame Hallert…cela est il suffisant ?? »

La vieille dame pris l’argent et commença à raconter son histoire
« Il y avait un jeune homme, de modeste condition nous les attendions, lui et Jarjayes depuis des jours.
Il est arrivé seul. Il a dit que le Colonel allait le rejoindre.
Il s’est inscrit sur le registre dans la même chambre que le Colonel »

Rosalie la coupa, impatiente
« Sous quel nom »

« Illisible !
Puis il y a eu un terrible orage...le déluge !!
Le jeune homme est resté dans sa chambre, il monta précipitamment et n’en sorti pas…comme ci il avait honte de montrer son visage.
Ensuite, la lettre est arrivée. »

« Vous avez ouvert cette lettre ? »

« Il le fallait !! Comment aurai je su a qui elle était destiné sinon !!
Je n’ai lu que la signature !! » lança la femme qui sentait le mensonge à plein nez, en effet la femme avait lu cette lettre ….

« Je l’ai monté dans sa chambre sans attendre ! Je me souviens l’avoir glissé sous la serviette qui accompagné le repas.
Le jeune homme se trouvais face à la fenêtre, anxieux … il ne bougea pas.
Ce qu’il a lu n’a pas du lui plaire, il a quitter l’hôtel sur le champ ! Sans un mot pour quiconque.
Ensuite bien entendu Le Colonel Jarjayes est arrivé.
Quand il a découvert que le jeune homme était parti ça la rendu fou de rage, il était comme possédé. Il a lancé une chaise à travers la fenêtre !!!
J’ai fait venir les Gardes Française, j’avais peur de lui !
Nous avons frappé puis ouvert la porte…il était là assis à fixer l’orage.
Quand il nous a vu, il s’est levé, jamais je n’ai vu quelqu’un d’aussi fier !
Il nous a lancé un regard noir !! Et il a quitté la pièce. »


Rosalie demanda à consulter le registre pour y voir la signature du jeune homme, illisible en effet elle demanda
« Est un J ou un G »
« Pour moi ça ressemble d’avantage à un F regardez !! » lui dit la vieille dame

« Comment était il ? Ce jeune homme ? »

« Il ne m’a jamais regardé en face, je pense qu’il ne voulait pas être reconnu… »


Rosalie quitta l’établissement, la signature de l’inconnu en poche et se rendit chez le Comte de Girodelle.
Il la reçu dans son bureau.

« Donnez un tour de clé !! »

Rosalie le regarda étonnée, puis se tourna vers la porte
« Mais Monsieur le Comte … »

« Donnez un tour de clé !! » Girodelle se leva et alla lui même fermer à clé
« Ainsi nous ne serons pas dérangés !! »

Rosalie le regarda encore plus étrangement, la peur s’emparant d’ellle
« Je sais que vous aimez les femmes mais… »

Girodelle se mit à rire
« Tout ce que l’on raconte sur moi n’est pas vrai …je ne collectionne pas les conquêtes !! Asseyez vous sans crainte.

Grand-Mère est passée avec le Général Jarjayes….ils disent que vous avait trouvé un secret et m'ont questionné sur Oscar.
Je ne leur ai rien dit. Pour prie de mon silence, vous allez devoir me raconter tout ! »

« Je crois Monsieur de Girodelle que cela soit impossible …c’est….c’est à moi qu’il incombe de vous interroger. »

Girodelle la regarda et pensa
Quelle assurance elle a pris….
« Pourquoi me soumettrai je à vos questions ? »

Rosalie baissa la tête, pris une réspiration et dit
« Parce que s’est ce qu’elle voulait ! »

« Qui ?! » Interrogea Girodelle

« Le Colonel. »

Girodelle se leva
« Vous m’assurez Rosalie que ce que je dirais ne sortira jamais de ce salon. »
« Vous avez ma parole d’honneur Monsieur le Comte »

Girodelle soupira et commença son récit
« On pourrai croire qu’il a du vrai dans certaine rumeurs …
J’ai été un des amours d’Oscar de Jarjayes.
Il est inutile que je vous rappel notre première rencontre.
Je n’avais pas quatorze ans quand j’entendit le nom d’Oscar de Jarjayes pour la première fois, on disait qu’il manier fort bien l’épée … Vous savez comme moi que j’ai pu…le constater. Avant cela je ne l’avais aperçu qu’une fois…déjà, chaque nuit ou presque je rêvais d’elle.
Lorsque l’on m’annonça qu’il me fallait la combattre elle, la femme soldat, elle….Oscar…personne ne savait qu’elle était ELLE j’étais certain que c’était un être noble, de sentiment raffinés et d’une grande culture fière aussi sûrement ..je mourrais d’impatience de la battre …celle elle qui remporta ce duel et comment aurait il peu en être autrement… à son regard…j’étais déjà conquis …. Mais qu’importe je pus être à ses cotés, sous ses ordres, chaque jour…mon amour grandit,en plusieurs années, amour qu’un jour elle partagea….elle s’amusa même de mes sentiments pour elle.
Je me souviens d’un jour ou je dirigeais les troupes...je leur fit faire n’importe quoi elle ne m’écoutais pas, était absente ou plutôt devrai-je dire semblais absente….je m’interrompis donc et lui lança un regard noir je me souviens de ce qu’elle répondit.

Ce n’est pas parce que je ne vous reprend pas que je ne vois pas vos âneries ….mais que vous fassiez faire n’importe quoi à mes hommes …je vais devoir vous battre !!
Riant je lui souri et lui tendit la joue …je reçu une gifle énorme ….elle était ainsi !
Nous partagions nos nuits….souvent…quelle merveilleuse amante elle était …je n’en pouvais plus d’ainsi me cacher…alors je commis l’irréparable ….j’ai demandé sa main, à son Père le Général.
Lorsqu’elle l’a su…elle est entré dans une colère …

« Oscar !! Venez dans mon bureau Monsieur de Girodelle viens de m’entretenir d’une question vous concernant… »
« Oscar j’ai demandé votre main, je vous aime et je pense que mes sentiments sont partagés, j’ose le croire »


Dernière édition par le Jeu 12 Jan à 12:41, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Lettre à l'immortel bien aimé   Lettre à l'immortel bien aimé EmptyJeu 12 Jan à 5:57

« Girodelle !! Quel tour m’avez vous joué ?! Vous m’avez trahi !! Je suis un militaire !! avant tout un militaire !! C’est horrible !!
oscar se leva faisant tomber sa chaise
HORRIBLE de dévoilé ainsi mes émotions les plus précieuses !!!!
Jamais je ne vous le pardonnerais !! »
Elle quitta la pièce furieuse

« OSCAR !!! »
« Laissez Général….je suis perdu …pauvre fou que je suis …..elle voue sa vie aux armes …qu’avez vous fait elle ???!!!
Laissez la…libre, au moins cela …libre …..Au revoir Général Jarjayes »


….j’ai changé de Régiment pour ne plus être sous ses ordres ….quelques mois plus tard mon Père me maria à une jeune Comtesse »

Rosalie l’interrogea
« Vous n’avez plus jamais eu de ses nouvelles ??!! »
« Non, nous ne nous sommes plus jamais vu…si une fois, elle m’a écrit, c’était après une mission…j’avais connu….certain …(il lui montra son cou, une cicatrise laissé par une tentative de suicide s’y dessinait) désagrément…son refus ….ce mariage…c’était une période difficile. »


Oscar elle trouva aussi cette période difficile ….elle se réfugia dans de longue chevauché à cheval, ne parlant à personne, se montrant plus froide que jamais, son cœur ayant était brisé…oui mais ce n'était pas la permière fois.....par un sentiment si noble…un sentiments qu’en temps que soldat elle ne pouvait pas avoir.

Rosalie quitta le Comte de Girodelle, elle marchait dans Paris lorsqu’elle croisa André.
« Alors ?! Que va tu faire ?! Voir tout les comte frivole qu’Oscar a connu ? Tu n’as rien sur cette mystérieuse personne !! »

« J’ai dans ma poche la signature de ce jeune homme, j’ai étudier la correspondance d’Oscar, je retrouverais la même signature …. »

« Tu n’as que ca à faire !!
Laisse moi te dire ceci…tes recherches sont vaines !! Cet homme n’existe pas !! Oscar était misanthrope !!Vois comme elle a traité Diane !! »

«Elle en avait le droit, Diane était alors une femme de peu de moralité »

« Haaa !! Rosalie tu as subi l’influence d’Oscar, tu tourne les talons sans un mot...tu manque de discernement !! Elle détestait Diane je ne sais pour qu’elle raison….Et ce qu’elle à fait à son fils…sa fille !!Que dis je sa fille Marie !!! Qu’elle a même rebaptisé Armand !! Elle aurai pu au moins lui donner le nom de son défunt Père Alain !! »

« André, tu ne souhaite pas m’aider soit. Restant on la je te prie »

« Je n’ai pas fini, tu ne sais pas qu’elle être elle était !! …..
Je m’en souviens comme si c’était hier….

« Enfoncez la porte !! Enfoncez la porte soldats !! »

« Mais Colonel Jarjayes »
« Vous n’êtes bon a rien ?!!
Oscar défonça elle même la porte et trouva André, ou lit avec Diane.
Elle les regarda avec dégoût
« Arrêtez cette femme !! » lança Oscar aux soldats
Les voyant avancer André cria
« Je vous interdit de la toucher !! »

« ARRETEZ CETTE FEMME !!! GARCE !! »

« C’est de la calomnie !! » murmura Diane
«André montra un papier à Oscar
« Nous nous sommes mariés hier….et elle attend un enfant. »

Oscar regardait ce papier cet acte de mariage elle lui jeta au visage et sorti
« Oui c’est cela va t en !! C’est tout ce que tu sait faire !! Fuir !!! »


…comment a t elle osée !!! »

« André !! Je retrouverais cet homme !! »


Dernière édition par le Jeu 12 Jan à 12:44, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Lettre à l'immortel bien aimé   Lettre à l'immortel bien aimé EmptyJeu 12 Jan à 6:04

Rosalie remonta en voiture et se dirigea vers le Nord, lisant à nouveau cette lettre d’Oscar au mystérieux inconnu


« ….Mon voyage a été épouvantable, nous avons du emprunté un terrible chemin, la voiture transportant les munissions a eu une roue brisé, sans aucune raison sur un simple chemin de terre.
Il faut que je te vois. Quelque soit ton amour pour moi, je t’aime plus fort encore, ne te dérobe jamais à moi…. »


La voiture s’arrêta devant une grande demeure.
« Bonjour !! je cherche le Comte de Fersen… »

Le grand portail s’ouvrit, Rosalie fut amené dans un grand salon.

« Rosalie …je vous en prie asseyez vous…vous allez dîner avec moi !! »

« Comte de Fersen … »
« Axel …je suis chez moi ici et vous êtes mon invité, et puis …avec la révolution…. »

Il leva son verre et le bu, Rosalie qui n’était pas habitué à l’alcool posa doucement ses lèvres sur le bord du verre un bu une petite gorgée et manqua de s’étouffer

Fersen brisa le silence, connaissant Rosalie elle ne pouvait être la que pour une personne.
« Pauvre Oscar, elle me manque tellement …. »
« Sa mort a laissé un grand vide . »
« La manière dont ils l’ont traité…m’a dégoûté !!
Elle était trop noble pour eux, sa …FLAMME…offensé leur petite cervelle.. »

« Mais pas vous ! » lui dit Rosalie qui pensait qu’ils avaient eu une liaison, Oscar et Fersen.
« Nous étions si diffèrent et pourtant… je la voulais…prêt de moi. »

« A-t-elle était…votre amante ? »

Fersen sourit à Rosalie.

Ce bal…je m’en souviendrais toujours ….elle avait défendu Marie-Antoinette avec tant de ..noblesse, de panache….ce ne fut pas délicat mais…cette première rencontre oui je m’en souviens…et toute les autres aussi.
Nous nous voyons souvent…qu’elle personne de confiance elle était !!
J’ai beaucoup pleuré à la naissance du premier dauphin….comment vous expliquer Rosalie…mais alors que seul je pleurait elle est venu ..

« Un jeune homme désir vous voir Monsieur le comte »
« Je ne veux recevoir personne ! »
« C’est un Colonel…il …il ne partira pas sans vous avoir vu, il nous l’ affirmé »
Le Comte de Fersen va vous recevoir ….Oscar entra, elle ne dit pas un mot, elle salua Fersen et se plaça au piano
« Je partage votre peine »
Elle joua magnifiquement bien une triste Sonate puis murmura …
« mais il faut vous ressaisir »

Elle attaque alors une fugue d’une vivacité
« Vous n’êtes pas mort que diable !! Elle non plus !! Vos sentiments non plus !! Elle n’a fait que son devoir de Reine !! »



….nous avons tous partagé, elle m’a ouvert son cœur, elle disait que j’était son confesseur, elle me racontait tout . »

« Vous avez du l’aimer, et elle aussi a du vous aimer !! »

« Non je ne pense pas non, Rosalie »

« Ha quels idiots vous faites !! »

Fersen sourit
« Allons Rosalie …..
C’est pour cela que vous avez fait tout ce chemin ? Vous parliez d’une affaire qui n’était pas réglée, mais en quoi puis je vous aider ?»

« Ce n’est peut être rien …mais c’est peut être aussi un moyen de...la connaître la clé, oui la clé qui nous montrerais comment étais son âme, son cœur…qu’elle savait si bien cacher !…….Peut être a t il raison, je devrai renoncer mais je ne peux pas, cela m’est impossible. »

« Mais pourquoi ? » Interrogea Fersen
« C’est à cause de ce que je sais d’elle...Oh Fersen si vous saviez combien elle fut bonne avec moi…elle m’a accueillit, m’a fait voir le monde sous un jour nouveau, parfois dure je l’accorde …..

Je faisait tout pour elle et j’aurais tout fait !! Je m’occuper de tout ce qui était ménage, tout ce qu’elle ne savait pas faire…je me souviens d’un jour où elle cherchait une renne de cuire noir pour ses chevaux….elle était sur qu’André avait du l’emmener, elle décida donc d’aller la chercher.
Ils ne s’étaient pas parler depuis près de quatre ans.
Elle entra sans frapper à la porte. Les salua :
« André, Diane, et leur fille encore au berceau »
Je ne sais comment mais cela à fini en bagarre entre André et Oscar c’est elle qui eu le dessus….
Elle ne trouva pas la lanière mais ce jour la trouva un ordre d’enrôlement, André partait le lendemain pour les Amériques…Diane n’eu plus de nouvelle pendant plusieurs mois….on le croyait mort…comme Alain.
Je ne sais pour qu’elle raison Oscar demanda la Garde d’Armand …et en raison du peu de moralité de Diane Oscar obtint la Garde d’Armand….enfin alors c’était Marie….le douce petite…elle lui demanda ce qu’elle voulait faire de sa vie….la petite alors âgée de trois ans resta muette…
« Soit !! tu sera soldat !!Comme moi » lui avait lancé Oscar lui racontant son histoire….elle fini par cette émouvante phrase « Ton Papa…je l’aimais plus que tout…que je t’aime toi…mon cher Armand. »
Bien que tendre Oscar lui donna une dure éducation…c’est sur Armand était la meilleur, en tout quelque soit l’arme ….Armand appris par une mauvaise langue que celui qu’elle concéderait comme son Père était un libertin, qu’il avait était amant de la Reine …voulant réparer cette affront fait à sa famille Armand provoqua sur le champ le Duc en duel ….Le Duc…peureux s’arrangea pour faire tourner le duel au pistolet en sa faveur…Armand mourut d’une balle en pleine poitrine.
Cela affligea Oscar, beaucoup pendant plusieurs jour on ne la vit pas
On criait sur tout les toit qu’Armand s’était donné la mort à cause de la rigidité de son éducation, parce qu’Oscar était sans cœur nouveau sortir…André qui rentra des Amériques…..


« Il y a une lettre Monsieur de Fersen…elle lègue à cet homme tout ses biens…. »

Fersen prit la lettre, en lu le début et la posa sur son cœur.
Il regarda Rosalie.

« Cette lettre, ne m’est pas destinée »

Rosalie en resta bouche bée, elle était persuadé que c’était lui….elle fini par dire
« Mais à qui alors ?!! »

Fersen lui dit alors
« Elle était destinée …à celui qui était entre nous…(il soupira, ferma les yeux et fini par avouer)…je l’ai aimé de tout mon être, mais elle n’a jamais pu me rendre cet amour………..elle ne pouvait pas l’oublier… »

Rosalie murmura
« Qui est-ce ? »

Elle lui pris la main
« Je l’ai abandonné, nous l’avons tous abandonné, elle nous a tant donnée, elle a qui nous devons aujourd’hui la liberté…son dernier vœux doit être respecté dites moi……dites moi qui est cet homme !!! »

Fersen détourna son regard
« Vous avez toujours eu la réponse devant vous Rosalie. »


«…Du fond de mon lit, mes pensées se tournent vers toi, mon immortel bien-aimé, parfois joyeuse, parfois triste, attendant de voir si le destin nous exaucera…. »



« Qu’allez vous faire Rosalie »
Elle monta en voiture
« Je ne sais pas….je ne sais pas. »

« Allez le voir Rosalie.. »
« Mais enfin .. »
« Il le faut !! »
Fersen ordonna au cochet de se mettre en route.
C’est à Paris que Rosalie ce rendit, elle entra dans cette demeure qu’elle connaissait bien, s’approcha doucement de lui, il était seul comme à son habitude depuis la mort de sa femme et de sa fille, il n’avait plus rien si ce n’est ses chevaux …Il la salua du regard.
Rosalie lui rendit son salut et dit

« Puis je vous parler ? »
« Comme tu le vois je suis très occupé !! »
« Pourrai je avoir un aperçu de votre écriture ?? »
« Pourquoi ? »
« Je vous en prie » supplia Rosalie « Faites moi cette grâce »
il chercha des papiers….et lui tendit
« Tiens !! »

Rosalie posa le papier sur la table, sorti de sa poche l’extrait du registre de l’hôtel et compara les signatures
« Reconnaissez vous votre écriture ? »

« Qu’est ce que c’est Rosalie ? »
« Une page qui proviens du registre du Grand Hôtel de Paris…. »

L’homme baissa les yeux
« J’aimerais que tu parte ! »

Rosalie termina sa phrase
« Signé …par vous ….N’avez vous jamais rencontré Oscar au Grand Hôtel ? »

« Rosalie !! Tu peux difficilement ignorer tout ces souffrances qu’elle m’a infligé toute ces années je trouve ta question offensante !! Qu’est ce que tu insinue Rosalie ?! »

Rosalie lui dit calmement
« Il ne peut y avoir de paix sans la vérité »

« Pour toi peut être mais moi j’ai fait la paix avec Oscar.
Je lui ai pardonné à cause de son sacrifice pour la Liberté, j’y était, j’ai combattu moi aussi…sans elle nous aurions perdu ces batailles décisive…elle en est morte des suite de ses blessures mais…je suis allée la voir avant sa mort…

« Que fait elle ? »

« Elle lit, profite en elle ne peste pas de ne pas pouvoir bouger. »
Grand-Mère ouvrit la porte de la chambre d’Oscar
« André et venu te voir ma petite Oscar. »


Elle était très affaibli, elle m’a regardé droit dans les yeux et ne pouvant parler elle m’écrit alors :
« Je te demande pardon…pour Marie, j’ai suivit mon Père alors que c’était ton enfant. »

Je lui ai simplement répondu par écrit
« Alain était comme mon frère, je lui ai rendu un grand service en aimant sa sœur mais….cet enfant n’était pas le mien… »
Elle a caressée mon visage …j’ai versé une larme, me retenant pour ne pas fondre en sanglot tant je l’aimé, elle même, toujours aussi fière a versée une larme….sans rien dire.
C’est alors que je me suis levé pour quitter la pièce, arrivé à la porte elle me murmura
« La comédie est terminé ! »



« Oui Rosalie, je l’ai aimé…mais elle s’est détourné de moi, elle m’a abandonné et ne m’a plus donné signe de vie. Je n’étais qu’un idiot, je n’ai jamais rien représenté pour elle, moi, son ancien domestique…. »

« Mais la lettre André … »

« Quel lettre Rosalie ? »

En un regard tout était dit, André n’avait jamais eu cette lettre.
Elle la tendit à André

« André Grandier je pense…que cette lettre vous ai destinée »

Rosalie se leva et quitta la pièce, pour qu’André je voit pas ses larmes et qu’elle ne voit pas les siennes….elle savait se qui s’était passé, elle l’imaginé du moins …

En mission comme souvent Oscar avait du laisser André, son amant…ils s’étaient donné rendez vous dans ce Grand Hôtel de Paris ils s’étaient décidé à fuir pur l’étranger et à ce marier…Rosalie le savait ils s’aimaient depuis tant d’années…Ils se comprenaient, étaient inséparable ….

« André, je doit partir en mission, je reviendrais, rejoins moi au Grand Hôtel de Paris dans une huitaine…nous fuirons…ensemble…je t’aime…. Qu’importe ce que dira mon Père»


André se rendit donc à l’hôtel, Oscar n’arriva pas…et pour cause tout était expliqué dans sa lettre qu’il ne lu jamais ….Il attendit dans cet hôtel, ne la voyant arrivé il en conclu qu’elle en avait décidé autrement, André savait combien elle aimée son métier…..


Mon ange, mon tout, mon autre moi même…
Quelques mots seulement aujourd’hui et ce au crayon, le tiens.
Ce n’est pas avant demain que le Régiment sera totalement arrêté, quel misérable perte de temps pour de telle chose.
Et pourquoi se profond chagrin ? Si nous étions tout a fait réuni, nous n’éprouverions plus cette souffrance, là ou je suis tu es aussi avec moi, bientôt nous vivrons ensemble et alors, quelle vie nous aurons !!
Mon voyage a été épouvantable, on nous conseilla de ne pas voyager de nuit et nous parla d’une horrible foret à traverser, mais cela ne fit que me tenter , nous avons du emprunté un terrible chemin, la voiture transportant les munissions a eu une roue brisé, sans aucune raison sur un simple chemin de terre. Et maintenant je suis complètement immobilisé, pour le plaisir des hommes qui s’offrent un peu de repos.
Mais nous nous reverrons sans doute bientôt, aujourd’hui j’espère.
Il faut que je te vois. Quelque soit ton amour pour moi, je t’aime plus fort encore, ne te dérobe jamais à moi. …..


André ne voyant Oscar arrivé quitta l’hôtel, déçu, dépité, il ne remit pas les pieds à Jarjayes ….alors qu’il se préparait à quitter l’hôtel Oscar elle arriva, monta les escalier quatre à quatre pendant qu’André craignant d’être vu emprunta les escaliers de service, ils se manquèrent .

Du fond de mon lit, mes pensés se tournent vers toi, mon éternel bien-aimé, parfois joyeuse, parfois triste.
Je ne peux vivre qu’entièrement avec toi ou pas du tout.
Oui. Il faut qu’il en soit ainsi.
Je doit dormir maintenant, soit calme mon aimé…



Oscar entra dans la chambre vide et en conclu qu’ André l’avait trompé, trahi….qu’il ne l’aimait pas, elle pensa alors n’être pour lui qu’une conquête de plus et entra dans un colère folle jeta même un chaise par la fenêtre…elle ramassa la lettre trouvait au sol….


Etre avec toi, toi ma vie, mon tout, Adieu donc continu à m’aimer
Eternellement à toi, éternellement à moi
Eternellement l’un à l’autre.



Lisant ces mots André compris que son bonheur s’était joué à rien…il décida de rejoindre celle qu’il aimait, qu’il avait toujours aimée….Rosalie, avant de remonter en voiture entendit une détonation…
Il l’avait rejoint dans un monde meilleur peut entre, sûrement.
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